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 Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.

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Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Empty
MessageSujet: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 12:35

Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. 883125tumblrlu5pogNaDy1qf7j3zo1500
Genesis Lust. Van-Hohenheim

« On ne peut rien obtenir sans faire de sacrifices.»

ÂGE: Voici 29 années que mon cœur saigne. . DATE DE NAISSANCE: 29/10/82. LIEU DE NAISSANCE: Londre. STATUT SOCIAL: Richissime et pourris jusqu'à la moelle, profondément seul . ARME CHOISIE: ombrelle & cartes rasoirs MÉTIER: Artiste et Trafiquant TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX: Sournois, malsain, moqueur, attirant, Intelligent, arrogant, nonchalant, agaçant, fier, narcissique, fort, séducteur, charmeur, gentleman, courtois, intelligent, malin, rusé, provoquant, blessant, brisé, égoïste, pessimiste, taciturne, fier, orgueilleux, sombre, possessif, impulsif, perfectionniste, créatif, contradictoire, franc, cruel,incompréhensible, rusé, déterminé, persévérant, protecteur malgré lui, destructeur, manipulateur, profondément triste, solitaire, froid, distant, violent, imaginatif, charismatique malgré lui, meneur, blasé,sadique, observateur, imprévisible, intriguant, secret, mystérieux. CÉLÉBRITÉ: Dieu Jared Leto


RACONTEZ NOUS VOTRE MORT :

Ma mort ? J'ai toujours su qu'elle serait violente, en effet, je ne suis pas mort parce que c'était un hasard ou autre chose du genre. En réalité, j'ai longtemps profité de ma vie de star et de trafiquant, j'étais simplement lassé de cette vie ridicule, cette vie sans elle. Je ne voulais pas mourir seul, car j'étais trop lâche pour cela. J'ai simplement attendu mon dernier concert à Londres, j'ai simplement mis une corde en haut de la plate-forme de ma scène. J'ai simplement mis cette même corde autour de mon cou et à la fin de cette introduction musicale, j'ai mis fin à mes jours. Pendu devant des milliers d'inconnu, pendu parce que je voulais les culpabilisé, parce que je voulais marquer les autres. Pendu nettement, d'une hauteur tellement séduisante, ce fut la fin de ma vie théâtrale et le début d'une autre.


QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? :

Ce pays est pour moi l'enfer, je voulais simplement mourir, je voulais oublier l'image de mes cauchemars, je voulais oublier Ezra. Ici, je ne l'oublie pas, ici je la vois encore et encore. Je la vois sourire, pleurer, brûler...Je n'aime pas ce pays, mais je ne le déteste pas non plus. Tout est étrange ici, je ne comprends pas trop et je ne cherche pas à comprendre. Je vie au jour le jour, prenant pas mal de plaisir à me moquer de tout et de tout le monde. Faire du mal aux autres ne me fais pas peur, bien au contraire, j'ai bien l'impression qu'ici tout est possible, mais que quelque chose nous échappes. En un instant on peut être bien et l'instant d'après être au plus bas, il n'y a pas de règle de temps, c'est l'enfer et mon enfer est tellement meilleur que ma vie misérable .

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? :
Mon endroit favoris aux pays des merveilles, bien qu'à mon humble avis ce pays est loin d'être merveilleux, ceci dit, il y a bien un endroit où je me sens moi-même. Cet endroit c'est celui qu'on nomme : La vallée des larmes. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que c'est l'endroit le plus mystique et le plus calme de ce pays selon moi. Il y a dans cet endroit quelque chose d'étrange, comme-ci la mort planait au-dessus de nos visages et chaque fois que je lève mes yeux au ciel, je me sens tellement purifié. Cet endroit me calme, m'apaise et même s'il paraît morbide et triste, c'est certainement les deux choses qui me ressemblent le plus.

raconte moi une histoire






Tigre, tigre, brûlant éclair. Dans les forêts de la nuit ; Quel œil, quelle main immortelle a pu ordonner ta terrifiante symétrie ? Dans quelles profondeurs lointaines, dans quels cieux Brûlait le feu de tes yeux ? Sur quelles ailes ose-t-il se dresser ? Quelle main osa saisir ce feu ? Et quelle épaule et quel art put tordre les muscles de ton cœur ? Et quand ton cœur commença à battre, Quelle terrible main, quels terribles pieds ? Quel fut le marteau, quelle fut la chaîne ? Dans quelle fournaise était ta cervelle ? Quelle fut l’enclume ? Quel terrible pouvoir. Osa en étouffer les mortelles terreurs ? Quand les étoiles jetèrent leurs lances Et abreuvèrent le ciel de leurs armes, Sourit-il en contemplant son œuvre ? Celui qui créa l’agneau te créa-t-il ? Tigre, tigre, brûlant éclair Dans les forêts de la nuit ; Quel œil, quelle main immortelle a pu ordonner ta terrifiante symétrie ?
William Blake


LA NAISSANCE D'UN PRODIGE OU DU DIABLE ❞

La naissance, chose tellement complexe, je me suis souvent posé la question, ma vie aurait-elle dû s'arrêter lors de mes premiers souffles ? Qu'importe, j'étais bien là. Père, un homme fort, grand, froid, calculateur, méticuleux. Des enfants ? Il n'en désirait pas et un garçon était certainement la pire chose qui pouvait arriver. Père n'était pratiquement jamais au manoir, fils d'un démocrate Russe immigrant, père vivait dans le luxe et la décadence. Cherchant un point important, quelque chose qui le ferait se sentir en vie. Mère, femme fragile, femme malsaine et complètement dérangée qui avait des croyances bien douteuses et pourtant femme d'une beauté tout aussi fragile que fracassante. Un enfant, elle en voulait depuis un moment déjà, les jours lui paraissaient dénuées de vies, dans ce manoir sombre et vaste. Fille d'un riche propriétaire de terrain, elle avait épouser cet homme dans le but d'avoir une vie moins misérable et moins clichée qu'un père alcoolique et violent. Elle avait peur, peur de tout, du monde, des autres, de ''l'extérieur'', un enfant était la clef de sa solitude et de cette mélancolie qui rongeait la moindre partie de lucidité qui lui restait. Pendant neuf mois, elle m'a portée en elle, chantant des berceuses mélancoliques et terriblement malsaines, elle ne voulait pas me partager, une grossesse difficile selon ses dires, la fatigue et sa dépression omniprésentes n'aidaient pas cette femme, qui sous un regard azure cachait les pensées les plus étranges. Fervente chrétienne qu'elle était, elle voulait accoucher au manoir, seule une sage femme et un prêtre étaient présents. Père, ne souhaitait pas être là, je le dégouttais avant même d'être officiellement en vie et surtout le seul héritier de sa richesse. Ce fut au bout de plus de dix heures de travail et de souffrances, sous des cris stridents et cinglants de souffrances, que je poussais mes premiers gémissements. Le regard fatigué, éprouvé, heureux de ma mère se posait instinctivement sur mon corps frêles et bien fragile.« -C'est un magnifique garçon Madame... » Il émanait de ce corps, minuscule, quelque chose d'étrange, quelque chose de grand et aussi beaucoup de tristesse. Si mes gémissements étaient signes que la vie était bien en moi, ils étaient aussi mes supplications, celles de mourir à nouveau, car dans cette vie, mon instinct de nouveau né, me disait bel et bien, que je n'allais pas être heureux. « -C'est mon fils ! Donnez-le moi ! » Sa voix tremblante, presque démente, était cinglante, j'étais son fils, sa chose, son ''objet'' et sa lubie la plus précieuse, ainsi sa vie, déplorable, serait bien moins triste.

Premiers rires, premières larmes, premières crises de colères, tout est une question de première fois . L'être humain vie sa vie, en fonction de ses premiers choix, affectifs ou non. Moi...Je ne décidais de rien, j'avais beau grandir dans le méandre des ténèbres de ma mère, je l'écoutais encore et encore, comme une longue et grande pièce de théâtre. Un mauvais film, ou ce genre de mauvais rêves étouffant. À l'école je n'étais pas avenant et je ne l'ai jamais été, l'amour de ma mère était quelque chose que les autres qualifiés de beau, cependant, ce n'était rien de cela. L'amour obsessionnel et presque incestueux que ma mère avait à mon égard était quelque chose que je ne comprenais pas, mais mon mutisme m'empêchait de dire ou faire quelque chose. Dans mes souvenirs les plus radieux, c'était une femme douce, capable d'aimer et de recevoir, cependant, chaque fois que je l'imaginais, elle était tellement belle, d'une beauté presque irréelle, ses cheveux ébène et longs, traînaient sur le sol, elle était souvent vêtue de longues robes blanches ou sombres, qui traînaient aussi sur le sol. Elle avait quelque chose de mystique, quelque chose de grand, mais d'effrayant. Ses yeux azures étaient souvent bien sombres et rougis par les larmes, sa peau était tellement pâle, que parfois j'avais l'impression d'être face à un fantôme. Elle ne sortait jamais, passant son temps à s'asseoir au bord de la fenêtre de ma chambre, observant le temps passer et en lisant des recueille de poèmes. Moi, je n'avais, pour ainsi dire, aucune personnalité, ma mère me l'avait enlevée, quant à mon père, je n'osais jamais prononcer son nom...de peur que ses coups de ceintures ne s'acharnent de nouveau sur moi. Mes parents me paraissaient tellement grands, tellement impressionnants, ma voix restait bloqué dans le fond de ma gorge, j'avais l'impression de suffoquer. Je n'avais pas d'amis, les gens étaient pour moi des objets, des poupées sans vie et les paroles de ma mère me hantaient chaque nuit. « -Les femmes sont malsaines, elles sont la faiblesse de l'homme, Genesis, ne donne jamais ton cœur » Ces paroles, je n'en avais jamais compris le sens, tout comme je ne comprenais pas ce que j'étais pour elle. Parfois j'entendais ses hurlements de folies lorsqu'elle était sur le point de se coucher. Malade et schizophrène c'est ce que les hommes en blanc venaient de dire, la dernière fois que je les avais vues. Qu'était-ce ? Je n'en savais rien du haut de mes dix ans. Les mois, les années passèrent jusqu'au jour où ma décision me fit comprendre que je n'étais pas à ma place dans cette demeure, sombre et misérable. « -Genesis...ne fait pas ça !! NEUF MOIS JE T'AI EU DANS MON VENTRE !!! Ne part pas... » Je voyais ses larmes qui coulaient sur ses joues, tendis que ses poings faibles, cognaient contre mon torse. Mon regard se posait sur ses épaules, qui m'avait paru tellement fortes par le passé, aujourd'hui elle était petite, faible...maigre. Ses joues creuses et ses longs cheveux ne faisaient que confirmer sa folie. « -Ne me laisse pas seule Genesis... » Mon regard vide, se posait sur son visage creusé par la fatigue et les médicaments. Pitié, voici ce que m'inspirait ma propre mère...de la pitié. J'avais envie de vomir, de lui dire qu'elle ne m'avait rien apportée de bien dans ma vie, que je voulais quitter cette vie, qu'elle aurait certainement dû me tuer le jour de ma naissance. Je ne fis rien de tel, d'une faible voix rauque et enrouée, je lui murmurais à l'oreille. « -Pardon, mère... » Puis, je posais mes mains sur les siennes, l'écartant de mon torse, tandis qu'elle s'écroula en larme sur le parquet de marbre. Attrapant mon sac, je sortis de la demeure familiale, tandis que ses hurlements de rages et de souffrances firent s'envoler les corbeaux, traversant la brume matinale de Londres. Moi, Genesis, je m'envolais pour l'Irak.





Tu as été la paix dans ma vie de guerrier.❞

Béni soit le Seigneur : ma force qui mène mes mains à la guerre et mes doigts au combat ; ma miséricorde et ma forteresse ; mon donjon et mon libérateur ; mon bouclier, celui en qui je donne ma foi.
Il faut sauver le soldat Ryan


« C'est quoi ton nom le bleu ? Hey...je te parle.. » Plongé dans mes pensées, le regard vide, dans un piaule tout aussi lugubre que mon esprit sournois, je plongeais mes prunelles dans le regard d'un jeune soldat. Américain, frêle, fragile, souriant...le contraire de ce que j'étais. Il me faisait tellement penser à ces petits garçons souriants et presque naïfs, mais tellement fort au fond. Cela faisait combien de temps que je ne trouvais plus le sommeil, mes nuits étaient agitées, sauvages, perturbées par le bruit des bombes qui explosaient au loin. J'avais pensé être libéré de mes démons, mais cela ne faisait que les réveiller encore plus passionnément. Mourir en héros, n'avait jamais été un choix ou une option, loin de là...je voulais simplement mourir, mais je ne voulais pas mourir seul. L'être bien pitoyable que j'étais, ne comprenait rien au comportement humain et encore moins en l'amour ou l'amitié. Cependant, ce garçon, qui risquait sa vie avec moi, me tendis une main en souriant. « -Moi c'est Kadaj ! Alors, c'est quoi ton nom ? » Je posais, de façon presque craintive bien plus réservé qu'une pucelle lors de sa première nuit, ma main dans la sienne, il me serra la main avec force et un sourire aux lèvres. J'avais envie de pleurer, oui, car je le savais, au fond je n'étais rien d'autre qu'un petit garçon profondément triste, un garçon qui avait choisis la mauvaise façon pour découvrir le monde. Je n'étais rien d'un qu'un simple bout de viande que les militaires jetaient dans la gueule des chiens enragés. « -Genesis... » Murmurais-je d'une voix faible, presque inaudible et de mes yeux azures, je le fixais, lui qui allait me faire découvrir ce que je cherchais. Mon meilleur ami, c'était bien comme cela que les autres appelaient un être humain qu'on aime d'un amour platonique.

Parce que au-delà de la mort, cette mort qui était devenue ma plus douce et ma plus séduisante amie, il y avait cette main, cette main que mon meilleur ami me tendait sans arrêt. Malgré les cadavres, les enfants sous les décombres, les attentats suicides, les femmes en larmes dans la rue, pleurant la perte d'un enfant. Ces hommes fous de rages, contre un dieu qui n'existe pas selon moi. Que pouvais-je faire d'autre ? Si j'étais venu ici pour me battre, c'était par pur égoïsme, je voulais simplement fuir cette mère au teint blafard et à l'amour incestueux et étouffant. Je n'avais rien trouvée de mieux que de me plonger en enfer. Kadaj était devenu mon soutien, mon meilleur ami et le seul en qui j'avais une parfaite confiance. L'Irak ce n'était pas seulement des rebelles, c'était des enfants, des enfants qui avaient des bombes autour de leurs corps et c'était leurs sangs sur nos tenues. L'enfer ne pouvait qu'être beau, à côté de ce Pays, de cette guerre, inutile et futile. Pourtant, je tenais le coup, m'appuyant bien plus qu'il ne le fallait, sur Kadaj. Jusqu'au jour où, l'ange de la mort, vint me le prendre, comme un vulgaire lâche. Mon ami était allongé, sans vie, son regard fixait le plafond, la lumière de la salle, tandis que je titubais jusqu'à son corps, je me laissais tomber sur le sol, posant la paume de ma main sur son front. Laissant pour la première fois mes larmes couler....je levais mon regard, fixant à mon tour le plafond. « -Alors, c'est ainsi, c'est ainsi qu'un homme pleur Kadaj...pourquoi ? Pourquoi toi mon ami ? » Posant ma main sur son front, je refermais ses yeux, l'incitant à partir se reposer pour de bon, tandis que je posais ma tête sur son torse, laissant mes sanglots couler sur sa peau.

« Genesis !! Vient voir on a un problème... » La chaleur, la chaleur étouffante de ce pays me brûlait la peau, elle m'aveuglait violemment, je ne voyais rien, rien d'autre que mon ombre. J'étais redevenu un zombi, l'ombre de moi-même...Cela ne faisait même pas deux heures que Kadaj avait quitté ce monde, que déjà on devait s'occuper d'autres choses. Aux yeux de mes supérieurs, il n'était rien d'autre qu'un nom sur une liste. Tout comme moi, d'ailleurs. Les décombres et la saleté de ces bidons villes me donnait la nausée. Mon regard se posa sur cinq de mes équipiers, braquant quelque chose ou quelqu'un. Un enfant...un enfant qui tenait une AK47 bien trop lourde et bien trop grande pour lui. « -C'est ça le problème ? » Demandais-je calmement à l'un des soldats qui me fixaient comme si je venais d'une autre planète. « -Non, c'est ce qu'il a en dessous, une bombe ! » Mon regard se posa de nouveau sur ce gamin, quel âge pouvait-il avoir ? 10 ans tout au plus. Il me regardait en souriant, cherchant à me faire culpabilisé et j'avoue qu'à cet instant, j'avais eu envie de prendre mon arme et de lui tirer une balle dans la tête. J'étais instable psychologiquement parlant, je ne voyais pas un enfant innocent devant moi, mais un putain de soldat, l'un de ceux qui ont tué mon meilleur ami ! « -Pause ça petit... » Ordonnais-je d'un air détendu et détaché, ce qui ne le ôta pas son sourire narquois. Je n'avais aucune réaction, je me sentais tellement vide. À vrai dire, je n'avais même pas réagis lorsqu'il fourra l'une de ses mains dans ses poches....la seule chose dont je me souviens de cet instant c'était ; le bruit d'un souffle mélangé à celui d'un sifflement, mon corps lourd sur le sol et cet enfant qui venait de s'effacer, les morceaux de ce gosse était sur mes vêtements. Et il était partie avec le sourire, si l'un de mes équipiers ne m'avait pas poussé, sans doute serais-je mort et sans doute aurait-il été mieux pour moi de mourir à cet instant. Je me redressais, assis sur le sol brûlant de ce pays, fixant ce qu'il restait de ce gosse soit : Un tas de chaire brûlante, une sorte de festin pour vautour. « -Genesis...on n'aurait rien pu faire ça va ? » Mon regard n'arrivait pas à quitter cette chose, ces restes humains, normalement j'aurais dû rendre mon repas, mais je n'étais pas normal, je ne faisais que le regarder. Ainsi, il était donc si facile d'effacer son existence ? « -Ce n'est pas ce qu'on a fait qui est un crime, c'est justement ce qu'on n'a pas fait, l'être humain a tellement peur pour sa propre vie, qu'il se refuse de la risquer gratuitement...moi de même. » Murmurais-je en fixant cette dépouille, posant ensuite mon regard sur ma jambe blessée. La guerre...la guerre n'était rien d'autre que le reflet le plus sale et le plus réaliste de l'être humain.


Stephen King a écrit: Les monstres sont réels, les fantômes le sont aussi, ils vivent à l'intérieur de nous. Et parfois... ils gagnent.❞

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La vie, la mort....c'est quelque chose de normal, basique, instinctif chez l'être humain. Ce que l'humanité oublie de souligner, c'est que l'être humain aime, il se nourrit de la mort, ainsi des gens vont attendre plus qu'il ne le fallait pour avoir la chance de voir le cadavre d'une famille, plutôt qu'un mariage. C'est un fait qui est inscrit dans notre ADN, si l'homme n'avait pas été malsain, peut-être que nous, nous serions éteint en même temps que tous les autres, il y a de cela bien longtemps. Le ciel était d'un gris paisible, triste et à la fois apaisent, à l'image de Kadaj. New York était une ville comme peu de ville dans ce bas monde. Il y avait un sentiment de réussite, mais aussi de dégoût profond, entre le luxe et la décadence du monde. J'avais beaucoup de mal à imaginer Kadaj dans cette ville et cela ne faisait que me rappeler que je ne savais que ce qu'il avait voulu me dire sur lui. Je me trouvais parmi des inconnues, dans un cimetière, observant le regard désolé de personnes que je ne connaissais pas, à mes côtés, se trouvait une femme, d'un certain âge et une petite fille qui devait avoir quatre ou cinq ans. La cérémonie se déroulait parfaitement bien, des discours tout droit sortit d'un site internet, tel des machines, aucun de mes supérieurs ne savaient qui était réellement mon ami. Ce n'était rien d'autre que du préchauffé. Je serrais les poings, me rappelant petit à petit la guerre, la mort, le sang et cet enfant...cet enfant qui hantait mes nuits les plus douces. « -Pourquoi il jette de la terre sur mon grand-frère ? »Fit une petite voix tremblante et hésitante. Je posais mon regard azure sur cette petite fille qui s'approchait du trou morbide où se trouvait le corps de son frère. « -Hein maman ! Pourquoi on jette de la terre sur mon frère ?! Il a été vilain ? Il a dit qu'il rentrerait avec moi, il m'a dit qu'il irait avec moi à la maison et qu'on ferait des dessins... maman...pourquoi tu ne réponds pas maman... » Ses sanglots, ses sanglots me glaçaient le sang, je ne faisais rien d'autre que regarder cette petite fille innocente, voir ses larmes sur ses joues de petite poupée, ça me donnait envie de vomir. Elle pleurait encore et encore et la pluie commença à tomber sur nous. Relevant la tête pour y voir le ciel, je laissais mes larmes se joindre en silence à la pluie, lavant mes erreurs. Je passais mon avant bras sur mes yeux, m'avançant vers cette enfant qui pleurait encore et encore, les regards étaient posés sur moi. Je me baissais légèrement avant de la prendre dans mes bras, la serrant comme-ci il s'agissait de ma propre soeur. Après tout, elle était une part de mon ami. « -Kadaj...m'a demandé de dessiner avec toi... » Murmurais-je à son oreille et lorsque je sentit ses petites mains autour de mon cou et ses larmes sur ma peau, mon coeur s'arrêta de battre pendant un instant.

La pluie s'était arrêtée, en même temps que les larmes de cette petite fille. La demeure de la famille de Kadaj était simple, mais chaleureuse, trop pour moi. J'avais besoin de prendre l'air, de souffler un peu, lâchant un faible soupire, je plongeais l'une de mes mains dans la poche intérieure de ma veste. Sortant, ce que j'aimais appeler, mon tube à cancer. J'allumais ma cigarette avant de la porter entre mes lèvres, laissant la nicotine calmer mes nerfs, j'observais le paysage. « C'est huit minutes de moins... » Fit une voix douce et légèrement moqueuse, posant mon regard sur mon interlocutrice, une jeune femme aux cheveux roux, ses yeux azures me fixaient, ils étaient tellement beaux que j'avais l'impression de me noyer dedans, j'avais l'impression d'être transparent devant une telle beauté. Sa peau était pâle, parfaite, sublime, elle avait l'air d'être forte, mais douce. « -Pa..Pardon ? » Murmurais-je hésitant et troublé. « -Lorsque tu fumes tu perds huit minutes de ta vie, c'est ce que je dis tout le temps à mon père...oh..moi c'est Ezra ! Je suis la soeur jumelle de Kadaj... » Voilà, c'était cela, elle ressemblait à Kadaj, elle était tout aussi douce que lui, mais dans son regard je pouvais y lire la force, la force d'une fonceuse, heureuse. Malgré cela, je pouvais lire une pointe de tristesse dans son regard. « -Oh... je vois... » Lâchant ma cigarette au sol, je l'écrasais avant de fourrer mes mains dans les poches de ma veste. « -Lust c'est ça ? Kadaj, m'a souvent parlé de toi dans ses lettres... » sa voix était joyeuse, mais elle était aussi triste, un savoureux mélange qui me donnait envie de la prendre dans mes bras. Elle avait réussi à m'arracher un faible sourire. « -Je te fais rire ? C'est cool ça, tu es bien plus beau lorsque tu souris, je peux voir tes beaux yeux azures... » Une nouvelle fois elle me fit sourire, voir même rire, je me redressais légèrement avant de lui faire face, elle était mince, très mince. « -Mon prénom c'est Genesis, seul Kadaj m'appelait Lust... » Disais-je en souriant avant de m'approcher d'elle, enroulant une mèche de ses cheveux entre mes doigts. Sa chaleur humaine m'attirait plus que tout au monde. « -Oh...je préfère Lust, ça te convient mieux, je trouve... » La fin de sa phrase était dite dans un murmure, j'aurais presque cru entendre un appel à l'aide. C'était quelque chose de fort, plus qu'une simple attirance, cette femme avait entre ses mains ma vie, j'avais l'impression qu'elle pouvait m'aider, mais me détruire aussi, d'une certaine façon. J'étais amoureux d'elle, je le savais, cependant, j'étais incapable de le dire.

Ma vie avec Ezra était plus simple, moins ennuyante, elle m'avait fait découvrir la musique, elle disait de moi que j'avais un talent pour le chant et l'écriture. Elle avait fait de moi, une star du rock et je voyageais souvent. J'avais des fans dans le monde entier, cependant, seule Ezra était importante. Chaque moment que je passais loin d'elle, je me sentais partir, étouffé par mes visions, mes souvenirs de la guerre, cet enfant ne cessait pas de revenir encore et encore. À la moindre faille, il était là et je revoyais cette scène sordide, celle où il se faisait exploser en mille morceaux. Chaque nuit, je me réveillais en sueur, hurlant, tremblant comme une feuille. J'avais l'impression de suffoquer et chaque fois... Ezra était loin, je voyais sa main, mais je n'arrivais pas à l'attraper. À cet instant, je voyais ma mère et elle ne cessait de me dire que tout était de ma faute, qu'elle me l'avait dit. Ezra était enceinte, d'un petit garçon, ce fut après un concert des plus énergique que je rentrais chez moi. Un petit appartement dans les beaux quartiers de New York, saluant le concierge, je montais les escaliers deux par deux. Heureux d'entrer dans cet appartement si rassurant. Une fois devant ma porte, mon visage devint pâle, m'apercevant que la porte était légèrement ouverte. Ce fut avec crainte que je poussais cette porte. Mon coeur battait la chamade, une boule venait de former dans mon bas ventre. Je tremblais, encore et encore... je n'osais pas dire son prénom. J'allais jusqu'à notre chambre, lorsque mon regard se posa sur son corps, allongé sur le lit, pieds et mains liées, je me jetais sur son corps. Son sang était éparpillé un peu partout sur le lit, sa gorge était ouverte, elle respirait à peine. « -Ezra...mon dieu...bon sang... » Paniqué, je pris mon portable, appelant les secours avant de le jeter sur le sol. Ma main se posa sur son visage. « -Lust...je... » Sa voix, sa douce voix était presque inaudible, j'allais la perdre. « -Chut...mon ange...chut... » Un souffle, il avait suffi d'un souffle avant qu'elle ne me quitte, sentant sa main tomber sur le matelas. Mes larmes coulèrent d'elles-mêmes, je posais mes mains sur sa poitrine. Je lui fis un massage cardiaque tout en sanglotant encore et encore. ''c'est ta faute Genesis, elle est morte à cause de toi ! Je te l'avais dit ! Tout ce que tu touches se brise mon fils '' Mes sanglots et mes mouvements de mains ne firent rien, pourtant j'insistais encore et encore. '' arrête tu l'as tué, tu entends ! Elle est morte à cause de toi !!!'' « FERME LA !!! » Hurlais-je de rage, tandis que je continuais encore et encore, mon regard fixait le sang qui se trouvait sur mes mains, tandis que la voix de ma mère et celle de ce garçon résonnaient en moi. Je n'étais plus maître de moi-même, je n'avais même pas entendu les secours entrer, je ne sentais même pas les mains des secouristes qui me poussaient loin du cadavre de ma femme et de mon enfant. Je n'entendais plus rien, je voyais les gens au ralentit, je ne réalisais pas, ce fut la dernière et unique fois que je fus réellement heureux...

"Tennessee Williams a dit: Nous sommes tous condamnés à être prisonniers de notre enveloppe charnelle, jusqu'au dernier jour.❞

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Elle court encore et encore, elle suffoque, mais elle continue encore et encore de courir, elle m'appelle encore et encore. Lust, ce nom qu'elle aimait tant, vêtue d'une longue robe blanche, je m'approche d'elle, j'essaye de prendre sa main, lorsque je vois son visage, tordue par la souffrance, son bas ventre en sang, ses yeux pleurs, ils pleurent du sang. La vision est horrible, puis sa robe prend feux et mon regard se pause sur mes mains, des mains tachées de sang, je cris son nom et pourtant elle brûle. J'entends son rire puis des pleurs, les pleurs d'un enfant, tout est noir, je vois e bébé dans ses bras, ils prennent feux ensemble. L'odeur de la chaire humaine me donne le tournis et j'entends la voix de ma mère : ''C'est ta faute, tout ce que tu touches se brise...'' cette phrase tourne dans ma tête, encore et encore.


Voici le rêve qui me hantait chaque nuit, depuis la mort de ma femme, j'étais partie de New York, j'avais acheté une petite maison à Londres. Un retour aux sources ? Non, la fuite, voici ce que j'étais, un lâche rien d'autre. J'avais été incapable d'affronter la famille de ma femme, ma famille en quelque sorte. Ce drame avait fait monter ma carrière en flèche et la drogue m'aider à tenir. Cela avait commencé avec une dose, puis une autre et encore une autre, pour qu'au final je finisse par en vendre moi-même. Je tuais, indirectement, mais chaque jour une personne mourrait à cause de la drogue. Cependant, je ne ressentais aucune compassion. Chaque matin, je me réveillais dans une chambre d'hôtel différente, en compagnie d'une ou plusieurs filles dont j'ignorais le nom. La nuit dernière encore, cela n'avait pas échapper à la règle, me réveillant en sursaut, le corps qui tremblait de part en part, le souffle court, je me redressais. Tirant le drap sur moi en passant ma main sur mon visage. « Tais-toi... » Murmurais-je à moi-même, d'une voix rauque, levant les yeux sur une jeune blonde niaise à demi-nue qui se trouvait devant moi. Elle s'avança sur le lit, telle une féline, prédatrice, elle souriait...ne savait-elle pas qu'elle avait en face d'elle un monstre d'égoïsme ? « -Bien dormit darling ? » Me murmurait-elle avant de me mordre le lobe de l'oreille, je restais de marbre, posant mes doigts sur sa gorge. Je souriais, d'un sourire carnassier avant de serrer un peu plus mon emprise sur la jeune femme, tel un serpent qui enroule sa proie. « -Dégage ! » Je plongeais mes prunelles azures dans les siennes, elle semblait peureuse et elle avait raison, je n'avais plus rien d'humain. Je la lâchais avant de la jeter sur le sol, attrapant ma veste, je sortie une liasse de billet que je lui jetais au visage . « -T'as compris ? Dégage.... » Voilà, ce à quoi se résumer ma vie. Entre deux caprices de stars, deux concerts et deux nuits, j'avais la drogue et le sexe. Pourtant, je n'arrivais pas à oublier. Ezra, Kadaj, ce garçon, ma mère....tout...je voulais simplement tout oublier.

Le mal est en nous et mon mal avait fini par me consumer petit à petit, chaque jour j'écrivais, j'écrivais une lettre à Ezra, des lettres, que j'avais enfermé dans une boite. J'enfilais mes vêtements de scène, allant aux répétitions de mon concert, m'enfermant dans ma loge, écrivant pour la dernière fois à Ezra. Je déposais ma lettre à côté d'un sachet de poudre. Me faufilant parmi les autres...ces humains si ridicules. Ces hommes et ces femmes que je haïssais plus que tout au monde. Je montais jusqu'en haut, oui en haut de cette scène. Entendant les premières notes de musique, j'entourais cette corde autour de mon cou et à la fin de cette introduction misérable : Ce fut le craquement de mes os qui résonnaient dans cette salle remplie d'inconnus, tandis que mon corps pendant au-dessus de leur tête. Tragique, inoubliable fin, une fin comme je l'avais voulu. Ces plaisirs violents ont une fin violentes paraît-il.


Des remords pour un adieu. Je ne pensais pas apercevoir l'ombre de ton dos si vite lorsque tu hantes mes rêves. J'aspirais à te garder auprès de moi, toujours. Mais j'ai failli à mes tendres serments sans vraiment le vouloir toutefois, et bien plus bourreau que victime, j'ai le coeur qui saigne de tant de regrets, qu'il me paraît plus desséché encore que ces jours bienheureux où j'ai eu la chance de te connaître.

Ma plume taillade ces quelques mots qui me mutilent tel un repenti, pour mieux te dire adieu ma douce.


De Lust à Ezra❞





HORS-JEU

PSEUDO: Yaya ou 30 stm addict' je suis certaine qu'on me reconaîtra... AGE: 20 ans COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? Superbe COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? msn par la fonda ACTIVITE: je dirais 4/7 CODE DU REGLEMENT: Alice's madness UN MOT POUR LA FIN ? J'aime dieu Leto /OUT/



Dernière édition par Genesis L. Van-Hohenheim le Jeu 1 Déc - 14:42, édité 33 fois
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S. Timaël Angellier
S. Timaël Angellier

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 28
→ MESSAGES : 713
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 29/08/2011
→ AVATAR : g. ULLIEL
→ CREDITS : lovely kitty.
→ LOCALISATION : la tour de l'horloge.
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DOLLHOUSE
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon.


FEUILLE DE ROUTE
Caractère:
Inventaire: cartes rasoirs.

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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:00

    HAN, mais comme je m'attendais pas à ça ! La surprise :bril: Bien évidemment ton choix d'avatar claque - que de souvenirs :love: Quoi qu'il en soit, merci de ton inscription puis bonne chance pour ta fiche jeune padawan ! :8:
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:10

Ton prénom et ton second prénom :bed:
Et puis le meilleur pour la fin, ton avatar :bril: J'ai vu ton 30 stm addict, je me suis tout de suite sentie moins seule ! Bref j'adore ** Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche surtout. J'ai hâte de voir ce que tu nous prépare (:

Au fait, ça serait possible de réserver un lien ? :cute: XD
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:16

omfg. :bave: :26: JARED LETO :bed: Très bon choix d'avatar, et le pseudo claque :huhu: :pfiouh:

EDIT : bienvenue, et bonen chance pour ta fiche ! I love you :10:
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:18

Hadès ! Je sais, je me suis laisser prendre au jeu ! Vilain ! à cause de toi je me retrouve avec un personnage de plus -_-" ! Mais je pouvais pas résister, j'avais trop envie de ''re'' jouer mon Jared !

Cryst : Merci beaucoup ! Une échelon ? I love you Tu vas les voir pour la nouvelle tournée ? (ouais je suis curieuse) et aucun soucie pour le lien ma belle, si toutefois, tu arrives à supporter l'arrogance de Genesis haha ! :10:

Franciszek : Ouais JARED LETO = DIEU ! (ouais je suis fan de ce type depuis des années, j'ai même le tatouage du logo de son groupe) -mode racontage de life off- merci beaucoup, j'aime l'original dans les pseudos !
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:22

Oui, une echelon depuis 4 ans :bril: Je vais les voir ce mois-ci (: Une fois à Lille et le lendemain à Amnéville :26: Et toi, tu vas les voir ? (: J'attends de lire ta fiche de présentation et puis après je chercherais un lien digne de ce nom :huhu:
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:25

OMG !!! je suis fan depuis un petit peu plus longtemps, vu qu'avant toute chose, je suis fan de Jared Leto -mais ça on s'en fou- ! MAIS PUTAIN ! -respire- Tu vas aussi à Lille ? O.o j'y vais, et j'y vais quelques jours en avances, mais je suis toute seule T-T (d'ailleurs je suis allée les voir deux fois à Paris aussi) ! Soit je vais essayer de faire une belle fiche digne de ce nom, je pense qu'elle sera terminé en début de semaine, le temps que je mette tout en ordre.
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Appoline Baudelaire
Appoline Baudelaire

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 27
→ MESSAGES : 861
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 02/10/2011
→ AVATAR : emily browning
→ CREDITS : ginger's spleen
→ LOCALISATION : bonne question
WHERE IS MY MIND ?
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FEUILLE DE ROUTE
Caractère: timide, intelligente, discrète, fragile, peu bavarde, triste, tenace, appliquée, douce-amère, délicate, dévouée, minutieuse, juste, acerbe, sensible, vigilante, ignorante, docile, introvertie, candide
Inventaire: l'ombrelle et l'éventail métallique

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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 13:56

oh god, JARED PARMI NOUS. :bril: :26: :bave: Il offre pleins de possibilités et il est parfait pour WHYDA. :bril:
Bienvenue chez les fous, je te vénère et te souhaite bonne chance pour ta fiche. :gnah:
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 14:10

Merci ! J'aime quand je fais cet effet là, mais c'est vrai que Jared a l'avantage de pouvoir jouer beaucoup de choses c'est ce que j'aime quand je le prends et ça fais un petit bout de temps que je voulais le jouer vachement sombre et bon le forum est parfait pour ça I love you
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H. Venetia Stenhamn-Pike
H. Venetia Stenhamn-Pike

le pays des merveilles, reste amoché dans ton coeur

→ AGE IRL : 29
→ MESSAGES : 958
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 24/08/2011
→ AVATAR : Mary Elizabeth Winstead
→ CREDITS : Mistaken
→ LOCALISATION : Sous les pétales … euh quelque part … dans le Jardin fleuri je dirais
PLEASE DREAM SOFTLYGenesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. 120619070759545004
SWEET SLEEPING BEAUTY
N'importe quel sot peut dire la vérité, mais il faut qu'un homme soit un peu sensé pour savoir bien mentir.


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Caractère: Naïve – Faussement cynique – Créative – Bornée – Réservée – Têtue – Minutieuse – Paranoïaque – Menteuse – Complexée – Observatrice – Cultivée – Givrée – Pointilleuse – Pétillante – Sauvage – Instable – Cireuse de pompe
Inventaire: Ombrelle & Maillet de Croquet

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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 16:49

Bienvenu !!!! OMG :bave: SI j'étais pas déjà mariée … SBAFF

EN tout cas bonne chance pour ta fiche !!
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http://www.dpalternatif.com/
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Dim 6 Nov - 18:59

C'est moi qui t'épouse de force :bave:
Jared + Genesis Lust = :26: :bril: :cute: :angel2: :huhu: :saute: ... :douche:
//dead//

Enfin bref...
bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche bel Apollon ténébreux :bed:
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Lun 7 Nov - 2:50

Bienvenue parmi nous :angel:
Jared *-* Et bon courage pour ta fiche :3
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 14:43

Merci à tous et j'ai enfin terminé !!! *O*
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 14:50

Tu écris merveilleusement bien mais je te l'ai déjà dit que j'aimais beaucoup. La fin de ton histoire ne m'a pas fait changer d'avis. Même si méga tragique, c'est plaisant à lire et puis les choses se ressentent. Bref hâte de voir ton perso évoluer **
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Jeu 1 Déc - 15:01

I love you merci ma belle tu sais que je t'adore toi XD
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S. Timaël Angellier
S. Timaël Angellier

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→ AGE IRL : 28
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1Sam 3 Déc - 19:47

    MAIS C'EST QUOI CETTE FICHE. :bril: :bril: Comme j'ai pu te le dire: elle claque, j'adore et sérieusement, ton personnage promet :love: :bave: Après tu fais des petites fautes d'inattention comme je t'ai dis, mais rien de bien méchant, après relecture est notre amie - ou pas. C'est avec plaisir que je te valide évidemment :bril:



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Félicitations
Oh, mais qui vois-je là ? Tu veux que je te dise ? Tu es tout à fait apte à faire parti de mon groupe. Tu as l'air futé ... Comme moi d'ailleurs. Je te félicite, tu fais parti du meilleur des groupes - le mien. Sois en des plus heureux, car cela signifie que tu es quelqu'un d'admirable - à mes yeux, mais ça compte, n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit, pour le bon fonctionnement de la suite, je te conseille vivement de signaler ton avatar pris, mais aussi de remplir ta feuille de personnage. Par la suite, tu pourras faire tes liens et tes topics. Si jamais il y a un soucis, les absences sont là.

Quoi qu'il en soit, j'admire ton courage d'être venu ici, le monde distordu de la pauvre Alice. Monstres et bêtes sans noms te suivront partout. Mais si tu as choisi de faire parti de l'aventure, ce n'est pas pour rien. Je te souhaite bonne chance, Genesis L. Van-Hohenheim et surtout, ne meurs pas ... A nouveau.
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MessageSujet: Re: Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave qu'un crime commis de son vivant.   Genesis : Un crime commis après la mort n'est pas moins grave  qu'un crime commis de son vivant. Icon_minitime1

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