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 BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.

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Appoline Baudelaire
Appoline Baudelaire

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 27
→ MESSAGES : 861
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 02/10/2011
→ AVATAR : emily browning
→ CREDITS : ginger's spleen
→ LOCALISATION : bonne question
WHERE IS MY MIND ?
BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   588270tumblrlrh4vsikPu1qg6rkio1500


FEUILLE DE ROUTE
Caractère: timide, intelligente, discrète, fragile, peu bavarde, triste, tenace, appliquée, douce-amère, délicate, dévouée, minutieuse, juste, acerbe, sensible, vigilante, ignorante, docile, introvertie, candide
Inventaire: l'ombrelle et l'éventail métallique

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MessageSujet: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 18:58

BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   363876
Skrillex Berlioz Alexander Denforth

« we are the death. short days ago, we lived, felt dawn, saw sunset glown. and now we lie. »

ÂGE: ici. DATE DE NAISSANCE: cinq mai. LIEU DE NAISSANCE: Oxford, Angleterre STATUT SOCIAL: célibataire. ARME CHOISIE: le parapluie et la théière canon. MÉTIER: brancardier à la morgue, aurait aimé être dentiste si il n'était pas malade TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX: mythomane, joueur, loyal, indépendant, perfide, endurant, solitaire, méthodique, incompréhensible, capricieux, triste, paranoïaque, peu bavard, très méfiant, prudent, fataliste, étourdi, intransigeant, stratège, réfléchi dans ses paroles, impulsif dans ses actes, falsificateur, habile, tenace, morbide parfois, vigilant, phobique des fous -bien qu'il ai une pathologie, mais le souvenir de sa sœur l'a traumatisé-, torturé, hypocrite, blessé, anxieux, cultivé, violent, direct, médisant. CÉLÉBRITÉ: Eddie Redmayne.


RACONTEZ NOUS VOTRE MORT : Avez-vous déjà ressenti la douce chaleur vous oppressant et le doux toucher vous effleurez la peau à en vous faire pleurer, du feu ? Non, bien sûr, vous n'avez pas cette merveilleuse occasion digne d'être vécu, quitte à en mourir. Vous ne pouvez pas comprendre à quel point on est effrayé lorsqu'on vous attache à un poteau de cage de football et qu'on vous asperge d'essence, l'odeur désagréable vous remonter jusqu'au nez. Ce crissement de l'allumette sur la boîte, si anodin d'habitude, mais qui vous fait déglutir difficilement et qui vous hérisse les poils lorsqu'une minuscule tout petite flamme apparaît à son bout. Vos hurlement, vos pleurs -oui, des pleurs, des vrais- lorsqu'on lâche cette allumette presque inconsciemment et qu'elle vient toucher la flaque d'essence à vos pieds et que la petite flamme se décuple. Les suppliments que personne n'entend, sauf eux, qui reste impassible et immobile, se satisfaisant du spectacle. La douleur -qui ne fais que commencer- que vous ressentez lorsque les flammes avalent vos pieds. La chaleur qui monte de plus en plus tandis que vous avez mal à en crever, mais que justement, vous ne crevez pas. Dorénavant, vous ne pouvez plus rien distinguer hormis quelques bribes de paysages à travers la lueur étouffante orange. Vous oppressez, suffoquez, de la transpiration suinte par tous les pores de votre peau. Vous les entendez qui crie et s'enfuie en courant. Et puis plus rien, seulement le crépitement des flammes. Jusqu'à la la lumière éblouissante s'estompe pour vous laisser dans l'obscurité complète. Il ne s'est en fait passé pas plus de cinq minutes mais il vous a parut une éternité avant de ne plus ressentir ce cauchemar. Maintenant, voilà ma question. Avez-vous déjà été brûlé vif ? Non ? Et bien, voilà un autre point sur lequel nous ne pourrons jamais nous comprendre.

QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? : Magnifique. Le pays des merveilles est magnifique, tout comme sa destruction et sa perdition lente et passive est sublime, fabuleuse et horrifique. Voir un monde s’écrouler, petit à petit, sous vos yeux c’est tellement beau, triste certes, mais si beau. Des paysages qui furent si beau, s’enlaidir des ombres des monstres l’habitant, que c’est excitant. C’est un cauchemar fascinant et le plus beau dans tout ça, c’est que c'est la réalité. Du moins, ma nouvelle réalité. Ces plantes resplendissantes dont ne vous auriez jamais pensé qu’elle puisse faire autant de dégâts, ces couleurs insensées, éclatantes, ces bêtes incongrues, stupéfiantes, terrifiantes. Tout ça me fascine et pensé que ce monde tout droit sorti d’un songe d’un des plus fous et des plus imaginatifs, ne vient qu’en réalité que d’une pauvre enfant qui va mal, très mal et qui dégrade son propre pays, sa propre imagination, sa construction inconsciemment, sans pouvoir empêcher toute cette abomination. Elle ne peut que regarder d’en haut la magnifique transformation de son pays des merveilles en pays des horreurs, avec un sentiment fulgurant d’impuissance et de désolation. Magnifique.

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? : Aucun et tous à la fois. Mais je me doute bien que cette réponse ne vous convient pas. Vous voulez du clair, précis, du net. La salle de tortures du château de la Reine Rouge. Les ustensiles improbables, les outils encore tachés de rouge ou les machines scintillantes m'attire irrésistiblement. Non pas pour les utiliser, quoique. Mais savoir ce qu'elles peuvent vous faire ressentir me fascine inexplicablement. Ne serait-ce qu'imaginer les âmes souffrant le martyr dans cette pièce et entendre dans un écho leurs cris étouffés. Ce n'est pas macabre, ni morbide, du moins, je ne le pense pas. J'ai juste toujours admiré l'anatomie humaine et aussi son comportement et en particulier le ressenti de la douleur. C'est pour cela que d'une certaine façon, cette pièce m'apaise et je peux y méditer en paix, sans qu'on vienne troubler le calme ; personne n'aimant traîné dans cette vaste salle où tant de têtes ont été coupés de leurs corps respectifs.

HORS-JEU

PSEUDO: manylittlethings. AGE: quinze ans. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? :love: Ce sera tout. COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? Par une jolie rouquine adepte des contes de fées. ACTIVITE: Au moins 4/7j, plus modérée pour les RPs.i CODE DU REGLEMENT: Alice's madness UN MOT POUR LA FIN ? Z'vous aimes fort ? :bril:



Dernière édition par S. Berlioz Denforth le Jeu 6 Oct - 16:14, édité 15 fois
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Appoline Baudelaire
Appoline Baudelaire

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 27
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→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 02/10/2011
→ AVATAR : emily browning
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FEUILLE DE ROUTE
Caractère: timide, intelligente, discrète, fragile, peu bavarde, triste, tenace, appliquée, douce-amère, délicate, dévouée, minutieuse, juste, acerbe, sensible, vigilante, ignorante, docile, introvertie, candide
Inventaire: l'ombrelle et l'éventail métallique

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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 18:58



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« Laissez votre cœur ressentir la peine et la détresse, de chacun. »
« Commençons, si vous le voulez bien ? Parlez-moi un peu de vous. » « Eh bien, docteur, il n'y a pas grand chose à dire sur moi. Je suis né le cinq mai, je suis donc Taureau, si je suis correct. Je suis né et j’ai grandi ici, à Oxford, depuis maintenant dix-sept ans -oui, parce que j’ai dix-sept ans, j'ai oublié de le mentionner. J'ai une sœur cadette, Asphodèl, qui a seize ans. Nous avons une relation très fusionnelle, certains nous prennent même pour des jumeaux. Mais cessons d'ignorer la raison pour laquelle je suis ici et rentrons directement dans le vif du sujet, si vous le voulez bien ? Ma mère et beaucoup d'autres pensent que je suis perturbé mentalement -nul besoin de le nier, ma mère le cache à peine- et à leur opinion, Asphodèl et moi sommes trop fusionnels ; beaucoup se demandent si notre relation n'est en réalité pas incestueuse. Ce ne sont que des calomnies. J'aime ma sœur d'une façon purement fraternelle, n'ai jamais eu d'action inappropriée avec elle et je n'ai pas des sentiments incongrus à son égard. Menteur. Cela me répugne que l'on puisse penser que nous ayons une relation si sale alors qu'elle est en réalité parfaitement pure. Mensonges. Nous ne sommes pas des monstres, les gens se méprennent sur nous. Nous entretenons une relation tout à fait normale entre une sœur et un frère. » « Vous savez Skrillex, « Berlioz » j'ai déjà eu des cas où des membres d'une mère famille s'était amourachés, il n'y a rien de mal à avouer vos sentiments réels envers Asphodèl. » « Mais Docteur, vous ne comprenez pas, ce n'est- » « Beaucoup de vos camarades sont suspicieux et le doute plane au dessus de votre tête Skrillex. » « Berlioz. Et bien soit, que les rumeurs courent, elles sont déjà lancés et peu importe ce que je dit rien ne les arrêtera alors. Mais je vous en prie Docteur, parlez-en avec ma sœur. C'est à Asphodèl qu'il faut parler. Ce n'est pas ma faute à moi. » « Je suis désolé Skrillex, mais ta mère ne veut pas que ta sœur suive une thérapie, elle estime que tu es le seul à en avoir besoin. D'après elle, c'est toi qui aurait entrainer Asphodèl dans ces histoires lugubres- » « Je n'ai entrainer rien du tout et surtout pas Asphodèl là-dedans ! Vous cherchez du mauvais côté. » « Soit. Ce sera tout pour aujourd'hui, nous n'arriverons pas plus loin pour cette première séance. Nous nous reverrons la semaine prochaine Skrillex. » « Berlioz ! »

« Alors, tu t'es bien amusé ? Le divan était confortable au moins ? » dit-elle en éclatant de rire et s'avança gracieusement jusqu'au sofa où se trouvait Berlioz, pour s'avachir sur le fauteuil se trouvant non loin de là. Berlioz quitta des yeux la cheminée et la lueur des flammes dansantes pour regarder sa sœur froidement. Elle l'insupportait tellement. Sa voix douce mais cassée à la fois, son ton sarcastique qu'elle utilisait en permanence avec lui, sa mesquinerie gratuite, sa manipulation constante, ses cheveux longs et ondulés, son sourire si blanc mais si faux, ses yeux malicieux emplis de froideur. Elle le répugnait, le fascinait et l'aimait tout à la fois. Ses sentiments pour elle était si confus qu'il n'aurait su lequel dominait le plus. « Comme un enfant de six ans à la fête foraine. Tu aurais du venir, vraiment, ton esprit torturé l'aurait plongé en complète admiration. » Sa bouche se tordit en sourire narquois et elle se leva telle un félin et s'avança pour s'asseoir sur le sofa où elle s'allongea et posa la tête sur les jambes de Berlioz. Inconsciemment, il fit une grimace de dégoût, alors que bien d'autre homme aurait aimés être à sa place frère ou non, mais qu'Asphodèl ne remarqua pas. Elle s'amusait à passer une mèche de ses cheveux roux entre ses longs doigts fins tout en disant, d'une voix claire et pincante : « Nous sommes tout deux aussi torturés l'un que l'autre, si cela peut te faire plaisir. » Sans prévenir, elle se releva et rapprocha son visage de celui de Berlioz pour n'avoir qu'une dizaine de centimètres les séparant. « Sauf que personne ne le saura jamais pour moi, je suis beaucoup trop parfaite pour ça. Tandis que toi, tout le monde te pense malade et que tu me manipules, moi, pauvre petite fille fragile. Et ils n'ont aucune idée que c'est en réalité l'inverse. N'est-ce pas dément ? » murmura-t-elle avant de poser ses lèvres sur celle de son frère. Une irrésistible envie de vomir et une horrible envie d'intensifier ce baiser ce rencontrèrent en sein de Berlioz. La première solution était la plus normale dans un tel contexte mais la deuxième l'attirait tout autant. A contre cœur, il se détacha d'Asphodèl et lui dit sur un ton cassant : « Tu es folle. Malsaine. Nous ne sommes pas sensés faire de tel choses entre frère et sœur ! » « "Sensés". Et puis, ce qui se passe ici, reste ici, n'est-ce pas ? Tu ne parlerais pas de ce que je t'oblige à faire à ton docteur tout de même ? » Il n'avait qu'une envie à ce moment-là, la claquer, la cogner à la table et pourquoi pas même la tuée. Mais il n'en fit rien car bien qu'il ne savait plus vraiment où se trouvait la normalité, il savait qu'avoir de telles envies, n'était pas digne d'une personne mentalement saine. Alors, il la poussa, doucement mais avec force, et se leva en silence pour quitter la pièce en disant un simple « Bonsoir. » avant de monter dans sa chambre et de s'y enfermer.


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« Rien n’est plus facile que de dénoncer un être abject, rien n’est plus difficile que de le comprendre. »
« Comment tu peux faire ça à ta propre soeur ?! Si tu veux à ce point te soulager, va aux putes ! » Berlioz se raidit, se retourna soudainement et tourna les talons pour marcher rapidement vers le groupes de garçons réunis près du marronnier. « Pardon ?! » rugit-il tout en empoignant le col de la chemise du jeune homme ayant prononcé les paroles si offensantes et le plaqua dos contre l'arbre. « Je n'ai jamais touché ma sœur de cet manière, connard ! » Ça me dégoûte rien que d'y penser. L'idée devrait lui plaire à elle, c'est si écœurant ! Berlioz planta ses yeux bleus furibonds dans ceux du jeune homme affolé qui paraissait complètement déboussolé par les événements et un peu effrayé tout de même. « Mais j'ai, j'ai, j'ai rien dit ! De quoi tu parles ? » réussit-il à balbutier, se préparant à recevoir un coup à n'importe quel moment. « Ne fais pas semblant de pas savoir de quoi je parle, salopard ! Je t'ai entendu ! » Des chuchotements surgirent de toute part autour d'eux, le reste de la bande réagissant à voix basse sur ce qu'avait dit Berlioz. La voix à celui-ci était toujours empreinte de colère mais son assurance s'était dégradé et il paraissait beaucoup moins sûr de lui tandis que le jeune homme regonfla le torse et perdit son allure effrayé pour une expression plus assuré et sarcastique. « T'entends des voix abruti, je t'ai jamais rien dit ; qui voudrait parler avec toi ? » dit-il d'un ton confident et moqueur, qui fit rire tous ses imbéciles d'amis en chœur. Berlioz déglutit et plissa les sourcils plusieurs fois à la suite, montrant son incompréhension face à la situation. Mais je l'ai entendu. N'est-ce pas ? Après quelques secondes, il ne pouvait plus supporter les rires à peine retenus des garçons derrière lui et il relâcha violemment son camarade et s'éloigna d'un pas vif dans la direction adverse, pour être hors de vu le plus vite possible. « Complètement taré ce type ! » pouffa le jeune homme, subitement très fier de lui, assez fort pour que tous ses amis ainsi que Berlioz l'entendent.

« Madame Denforth, votre fils souffre de troubles dépressifs récurrent, qui peuvent être facilement traiter par des antidépresseurs. Mais j'ai l'impression qu'il souffre de quelque symptômes schizophréniques. En effet, il m'a déjà rapporté -et j'ai pu en être le témoin- d'hallucinations auditives, de délires paranoïaques et parfois il lui arrive de dire des choses d'une façon peu construite et parfois même totalement incompréhensible. Aussi, vous avez deux solutions. Le faire interner dans un hôpital psychiatrique auquel cas je m'assurerais qu'il ira dans le meilleur du pays, ou de le traiter à domicile avec des visites régulières et des pilules à prendre régulièrement. Laquelle préférez-vous ? » « Je ne souhaite pas qu'il se fasse interner Docteur, je ne le supporterais pas ! » « Je pense moi aussi que c'est la meilleure solution pour Skrillex. » « Peut m'importe le bien-être de Skrillex, Docteur ! Ce que je ne supporterais pas, c'est les messes basses et le quand-dira-t-on. Tout se sait dans notre voisinage et les commérages vont bon train. S'ils apprennent que notre fils est fou, j'en mourrais de honte. Cet enfant est malade, malsain et je pourrai l'abandonner dans un fossé et le laisser y crevé que ça ne me ferait aucune peine. Mais il y aura toujours des questions. Alors je le laisse vivre chez moi mais ce n'est pas mon fils. C'est un être abominable, abject, un monstre. Il ne vous a pas raconté que ce qu'Asphodèl m'a dit. Ce qu'il lui fait faire. C'est épouvantable entre deux individus de même sang ! C'est un manipulateur, et à voir comme vous le couvez, il a réussi à vous faire croire à ses mensonges. » « Il reste tout de même votre enfant, vous ne pouvez parler de lui comme ça ! » « Comme je l'ai dit, ce n'est mon fils, il ne l'a jamais été et ne le sera jamais. » « Si je peux me permettre, avez-vous déjà pensé à analyser l'autre côté du miroir ? Avez-vous parlé de ce que je vous ai dit à Aspodèl ? » « Ma fille n'y est pour rien dans ses histoires abominables, elle n'est qu'une pauvre enfant vulnérable et influençable, qui porte trop d'importance à son frère ! Comment osez-vous l'accuser de tels actes ? » « Navré de vous avoir offensé Madame, mais c'était pour en être sûr. Votre fils peut dire la vérité. » « Skrillex n'est qu'un menteur et un manipulateur. On ne peut pas se fier à ce garçon. Ne vous laissez pas avoir Docteur par lui, vous êtes beaucoup trop intelligent pour croire à cette mascarade. »

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« Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres. »
Je n'en peux plus. Il faut que cela cesse. Elle va me rendre fou. Plus fou que je ne le suis déjà. C'est par sa faute qu'on me regarde avec horreur, avec dégoût, que je suis rejeté de tout le monde tandis qu'elle est aimé, adulé et plainte par bon nombre. Falsificatrice, menteuse experte, manipulatrice magistrale qui joue avec nous comme si elle tirait sur des fils invisibles pour mettre en mouvement des marionnettes. C'est une comédienne hors pair. Mais tout cela doit cesser. Aujourd'hui, maintenant, par n'importe quel moyen, de mes mains s'il le faut. Et si j'échoue, je trouverais un autre moyen d'arrêter tout ça. En m'ôtant ma propre vie par exemple. Toutes mes souffrances prendraient fin et je ne devrais plus supporter cet était de lépreux dégoutant la société. Je ne peux plus le supporter de toute manière. Ça doit finir. Enfin, ce jour était venu. Ce jour qui allait signer la conclusion de tout. Le soulagement. Enfin.

« Bonjour. » dit-il d'une voix posé, un sourire inexpressif accroché au visage. Elle leva les yeux du journal, presque stupéfaite. Puis elle sourit. Avec ce sourire si familier, si froid, si narquois, si transperçant. « Bonjour ! » dit-elle pour simple réponse avant de continuer sa lecture, comme si de rien était. Mais ce n'était pas du goût de Berlioz, qui posa son journal à plat sur la table et se rapprocha d'Asphodèl pour n'avoir qu'une dizaine de centimètres séparant leurs visages. Celle-ci eu du mal à cacher son étonnement. Il ne faisait jamais ça d'habitude. C'était elle qui le faisait, elle qui jouait à ce jeu, il n'était qu'un pion. Mais sans qu'elle s'en rende vraiment compte, il venait de prendre les rênes à pleines mains ; c'était lui le maitre du jeu dorénavant et il allait bien lui faire comprendre. « Tu sais quel jour nous sommes aujourd'hui ? » murmura-t-il, ne la quittant pas des yeux, en penchant légèrement la tête sur le côté. Elle fronça les sourcils, montrant son indignation. Elle ne comprenait pas où il voulait en venir et ça l'horripilait. Ne pas être maîtresse de la situation l'insupporte. Et la situation lui échappait dors et déjà des mains. « Le cinq, non ? » réussit-elle à articuler entre ses dents. « Et quel mois sommes nous Asphodèl ? » continua-t-il, toujours avec son sourire satisfait et moqueur. « En mai. Nous sommes en mai. » « Et que se passe-t-il le cinq de chaque mai Asphodèl ? » Elle n'arrivait plus à cacher son agacement dorénavant. « C'est ton anniversaire. » Lui en revanche, gardait son calme, bien que son sourire désagréable s'élargissait au fur et à mesure des réponses que lui donnait sa sœur. « Et quel âge ais-je aujourd'hui ? » « Je ne sais pas. » « Enfin, voyons Asphodèl, tu sais bien quel âge j'ai, non ? » dit-il en se rapprochant encore plus d'elle, gardant ce sourire qui donnait envie à Asphodèl de lui mettre une claque et de le battre à mort. C'était elle qui devait être à sa place. Elle était la manipulatrice, non pas l'inverse. Il faisait exprès de mettre une si fine distance entre leurs deux lèvres. Il voulait la troubler. « Dix-huit ans. » murmura-t-elle, presque inaudiblement, en articulant à peine. « Exactement Asphodèl. Aujourd'hui, j'ai dix-huit ans. Ce qui signifie je peux quitter cette prison qu'est cette maison librement, quitter nos parents qui ne m'affectionne guère, quitter ces rumeurs, quitter ma réputation et en particulier te quitter toi. Je ne serais plus obligé de te voir, t'accepter tes caprices, tes envies contre-natures, ton chantage. Et je ne me retournerai même pas car tu ne me manqueras même pas. » A présent, environ cinq centimètres les séparait et Berlioz affichait un sourire jusqu'au oreilles, presque effrayant, dément tandis qu'Asphodèl déglutissait difficilement et avait les yeux embués. « Mais Berlioz, je t'aime ! Si j'ai fais tout ça, c'était pour qu'on soit ensemble. Je t'en prie ne pars pas, j'en mourais ! » dit-elle d'une voix cassée, s'aggripant aux épaules de Berlioz comme si elle allait tombé. « Et bien, moi, je ne t'aime pas. Je te déteste, je te hais, je t’abhorre au plus haut point. Avec tout ce que tu m'as fait endurer, ceque tu m'as fais faire, ce que tu m'as fais vivre. J'ai tout endurer à ta place, toutes les horreurs, les paroles, les coups, tout ! Et c'était pour mon bien, dis-tu ?! Tu es vraiment folle, d'un tout autre genre que moi. Tu pourrais crever seule dans ton coin, j'en n'en aurait rien à faire. Tu ne peux pas m'aimer car tu n'as pas de cœur Asphodèl. » dit-il en détachant tous ses mots et les articulant bien comme s'il souhaitait enfoncer des couteaux dans sa chair. Les larmes n'arrivait plus à se contenir et coulaient des yeux verts d'Asphodèl. Mais Berlioz n'y prit guère attention ; combien de fois l'avait-il vu pleurer sur commande, lorsque mère les surprenaient, en faisant croire que tout était la faute de son frère. Il éloigna lentement son visage de celui d'Asphodèl, toujours grand sourire, et se leva, faisant grincer la chaise sur le parquet. « Berlioz, Berlioz, je t'en prie ne pars pas ! Berlioz ! »Il la rangea silencieusement cette fois et s'éloigna d'un pas doux, ignorant les lamentations d'Asphodèl derrière lui. « Tu ne m'abodonneras pas. J'inventerais des mensonges, plus morbide et plus tordu à ton sujet. On me croira, comme d'habitude. Regarde mon oeuvre ; tout le monde te déteste et te prends pour un fou ; je t'ai à moi seule. Tu seras placé sous tutelle. Je convaincrais mère de ne pas t'interner. Tu resteras ici, à mes côtés. Tu ne t'enfuiras pas si aisément. Je m'accrocherais à toi. Je t'aime Berlioz. J'ai fais tout ça pour nous, pour que personne ne te vole à moi. Et j'ai réussi. Et je réussirais à te faire rester ici Berlioz. J'arrive toujours à mes fins. » Berlioz s'arrêta silencieusement et ne se retourna pas tant qu'Asphodèl n'avait pas terminé sa phrase. Puis, il se retourna, son sourire ayant complétement disparu de son visage. Ou plutôt son expression démente s'était étendu à tout son visage et s'était mélangé à la fureur qu'il avait contenu à l'intérieur de lui pendant si longtemps. Il s'avança vers sa sœur qui s'était soudainement raidi d'un pas lourd et rapide. Mais à mi-chemin il s'arrêta et se retourna de nouveau et quitta la pièce calmement, laissant sa sœur dans l’incompréhension la plus totale.


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« Le mal n’est jamais spectaculaire, il a toujours forme humaine, il partage notre lit, et mange à notre table. »
« J'ai réussi. » Tais-toi. « Maintenant, tu vas rester avec moi, pour toujours. Il m'aura fallu trois ans mais nous voilà réunis mon amour. Et la vie va pouvoir reprendre son cours. » La ferme ! Elle avait trouvé une autre histoire effroyable à son sujet. Tout le monde y avait cru, habitants comme spécialistes. Et le voilà maintenant revenu ici, à cause d'elle, et il allait revenir dans cette horrible prison, par un simple bout de papier. Un retour aux enfers. « Nous allons terriblement nous amuser ensemble. » chuchota-t-elle, toujours avec ce sourire vainqueur, à vous glacer le sang. Ferme-là bon sang ! Ses pulsions revenait, mais beaucoup plus forte qu'elle ne l'avait jamais été. Certes, elle n'avait cesser d'augmenter en insistance et l'oiseau ne suffisait plus à ses besoins. Il s'était attaqué aux souris, puis lorsque cela ne suffisait plus, les chats et enfin les chiens. Mais il savait très bien qu'un animal ne suffirait pas à calmer ces pulsions-là. Pulsions qu'il avait tenté d'enfouir en lui depuis si longtemps. Chaque mot qu'elle prononçait lui rendait la tâche plus dure. Il ne distinguait plus la cuisine si familière qui l'entourait, seulement ses cheveux longs tombants sur son épaule, son souffle dans sa nuque, son parfum qu'il détestait tant et sa voix qui susurrait dans son oreille. Il n'entendait même plus le sifflement régulier de la vieille théière datant du siècle dernier sur le feu, bien que sa famille ait les moyens d'acheter les appareils dernier cri. Mais sa mère y était attaché à cette théière. Berlioz n'aurait su dire pourquoi et n'y pensait même pas, son esprit complètement embrumé par la présence de sa sœur et ses pulsions qu'ils refoulaient tant bien que mal. Tais-toi ! « Je t'ai ramené ici
grâce à mon imagination débordante d'horreurs.
» Tu vas te taire oui ?! Pourquoi continues-tu de me pourrir la vie ?! Elle se déplaça en se laissant glisser sur le sol pour se placer en face de lui. « Je vais t'avoir pour moi seule, comme au bon vieux temps. » dit-elle en se rapprochant de lui. Tais-toi ! Ne m'approche pas. Berlioz serra les poings fort, s'enfonçant les ongles dans la paume jusqu'au sang. « J'ai gagné la partie. » continua-t-elle lorsque leurs lèvres étaient si proches. Soudainement, la théière se mit à siffle bruyamment, réveillant l'intérieur de Berlioz qui l'empoigna d'un coup de main et la frappa contre le crâne de sa sœur qui tomba au sol sous le choc. « Tu vas te taire oui ! Tu es complètement folle ! Tu m'as détruit ma vie ! LA FERME, LA FERME ! » hurla-t-il dans la maison silencieuse tout en assenant de coup le corps inanimée d'Asphodèl jusqu'à qu'une mare de sang entoure ses pieds.

« C'est toi qui l'as tué connard ! J'en suis sûr ! Tu crois que tu vas t'en tirer comme ça simplement parce que ta famille est influente ?! C'est pas parce qu'ils t'ont innocenté que s'en est fini ! Tes jeux tordus avec des pauvres animaux et tes pulsions malsaines que tu lui as fais subir t'ont pas suffit hein ?! Il a fallu que tu lui défonce la gueule ! » Berlioz accéléra le pas. La police l'avait soupçonné mais par je ne sais quel mensonge de sa mère, il l'avait innocenté peu de temps après pour le jardinier qui aurait soit disant toujours eu un faible pour Asphodèl. Elle devait bien se douter que Berlioz y était pour quelque chose mais elle n'avait plus toute sa tête et préférait mettre un innocent en prison que d'avouer que son fils est un meurtrier. Ils sont tous des menteurs dans cette famille. Mais elle l'avait cherché. Tous ses mensonges inventé à son sujet pour l'éloigner de la communauté ; « pratiques incestueuses avec sa sœur contre le gré de cette dernière », « dissèque des oiseaux », « maltraite des chats ». Tout ça, c'était elle qui l'avait inventé. Enfin, presque. Le premier n'était que mensonge évidemment, ils n'étaient jamais aller plus loin que des baisers, il n'a jamais voulu aller plus loin malgré les menaces qu'elle lui faisait. Et pour ce qui en est de la deuxième parti. Ce n'était qu'un écart de comportement. Il voulait faire souffrir quelqu'un autant qu'on le faisait souffrir. Mais d'une autre manière. Moins psychologie et beaucoup plus physique. Et ces pauvres animaux se trouvaient simplement au mauvais endroit, au mauvais moment. « Allez-y ! » Il n'eut pas le temps de comprendre à qui était destiné cette remarque qu'il se retrouvait dans le noir, un sac sur la tête et entrainé violemment par un groupe de personnes dans un véhicule. Lorsqu'il sortit de l'obscurité une vingtaine de minutes plus tard, il était attaché à un poteau de cage de foot et quatre jeunes hommes lui faisait face, un masque sur la tête et un baril d'essence, de la corde, un boîte d'allumette et un briquet dans la main de chacun.


Dernière édition par S. Berlioz Denforth le Mer 5 Oct - 13:04, édité 15 fois
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S. Timaël Angellier
S. Timaël Angellier

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 28
→ MESSAGES : 713
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 29/08/2011
→ AVATAR : g. ULLIEL
→ CREDITS : lovely kitty.
→ LOCALISATION : la tour de l'horloge.
BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Tumblr_lw51owpwyK1qc8vl6o2_250
DOLLHOUSE
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon.


FEUILLE DE ROUTE
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Inventaire: cartes rasoirs.

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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 19:02

    Spoiler:

    :green: REBIENVENUE PARMI NOUUUS ! :bril: Comme dis, super choix d'avatar, je te souhaite bonne chance pour la suite, j'ai hâte de voir ton personnage fini. What a Face
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 19:07

NAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
I LOVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE YOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU ♥️-♥️
Can you marry me beautiful guy ?!
I want a lot of baby with you //dead//

Hum hum désolé (a)

Re-bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta nouvelle fiche :angel2:

Et Skrillex comme le DJ ?!
Si oui, je t'aime encore plus *-*
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 19:27

ABBY ♥♥♥♥ *envies de viol*
WELCOME DEAR :D
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Appoline Baudelaire
Appoline Baudelaire

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 27
→ MESSAGES : 861
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 02/10/2011
→ AVATAR : emily browning
→ CREDITS : ginger's spleen
→ LOCALISATION : bonne question
WHERE IS MY MIND ?
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FEUILLE DE ROUTE
Caractère: timide, intelligente, discrète, fragile, peu bavarde, triste, tenace, appliquée, douce-amère, délicate, dévouée, minutieuse, juste, acerbe, sensible, vigilante, ignorante, docile, introvertie, candide
Inventaire: l'ombrelle et l'éventail métallique

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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 20:25

hadès ; j'espère ne pas te décevoir dans ce cas. :cute:

luka ; haan, moi j'veux bien t'épouser et avoir des enfants avec toi. :bril: Pippa pourrait être la mère porteuse tiens. (a)

pippa ; ne te retiens pas surtout. :huhu:

Merci à vous trois. I love you
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Dim 2 Oct - 21:58

Re-bienvenue, dans ce cas tongue
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Lun 3 Oct - 7:44

:bril: Rebienvenue Abby I love you
Bonne chance pour écrire ta fiche :19: :love:
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Lun 3 Oct - 11:00

Rebienvenue et comme les autres, courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Lun 3 Oct - 15:37

Bienvenue parmi nous :cheshire:
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Appoline Baudelaire
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Lun 3 Oct - 20:00

Merci à vous quatre. :love: :5:
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1Mer 5 Oct - 19:25

    Alors déjà le prénom, ensuite l'avatar puis le personnage en lui-même, tu sais que je t'aime toi ?! :love: C'est avec plaisir que je te valide - à nouveau - amuse toi bien parmi nous :bril:



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Félicitations
Oh, mais qui vois-je là ? Tu veux que je te dise ? Tu es tout à fait apte à faire parti de mon groupe. Tu as l'air futé ... Comme moi d'ailleurs. Je te félicite, tu fais parti du meilleur des groupes - le mien. Sois en des plus heureux, car cela signifie que tu es quelqu'un d'admirable - à mes yeux, mais ça compte, n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit, pour le bon fonctionnement de la suite, je te conseille vivement de signaler ton avatar pris, mais aussi de remplir ta feuille de personnage. Par la suite, tu pourras faire tes liens et tes topics. Si jamais il y a un soucis, les absences sont là.

Quoi qu'il en soit, j'admire ton courage d'être venu ici, le monde distordu de la pauvre Alice. Monstres et bêtes sans noms te suivront partout. Mais si tu as choisi de faire parti de l'aventure, ce n'est pas pour rien. Je te souhaite bonne chance, S. Berlioz Denforth et surtout, ne meurs pas ... A nouveau.
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MessageSujet: Re: BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.    BERLIOZ న je lui ai montré mes brûlures et la lune s’est moquée de moi.   Icon_minitime1

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