Trystan Elijah Williams

« Have I gone mad? »
« I'm afraid so. You're entirely bonkers. But I'll tell you a secret. All the best people are. »

RACONTEZ NOUS VOTRE MORT :

DECEMBER ⎯
L’eau chaude ruissèle le long de son corps alors qu’il glisse ses deux mains dans ses cheveux trempés. Il serre les mâchoires, ses traits crispés par la l’incompréhension qui prend le dessus de lui. Pourquoi?! ... Pourquoi tout arrêter?! C'est une chose de faire comme si rien ne s’est produit entre eux.. Ciel ! Trystan sait parfaitement nier l’existence de quoi que ce soit au détriment de lui-même... Mais de là à tout arrêter ?.... Il craint qu'il ne sera jamais capable. Jamais. Pris d’une impulsion soudaine, son poing fracasse le carrelage de sa salle de bain, plongé dans les réminiscences d’une soirée qu’il ne pourra jamais noyer dans l'oubli.

[***]

« Cette soirée – » « Ne peut se reproduire », Trystan coupe la parole à Nathaniel tout en boutonnant sa chemise blanche, un sourire amusé tire ses fines lèvres. « Je sais... », Trystan marque une brève pause, la lèvre inférieure prisonnière de ses dents. Il attache le dernier bouton de sa chemise et s’attaque sur sa cravate qu’il glisse autour de son cou. « Tu ne penses pas que tu devrais changer de discours?... », taquin, l’avocat empoigne son veston et sa mallette puis passe une main dans ses cheveux noirs. « C’était la dernière fois. », fait Nathaniel... Quelque chose en ses paroles fait perdre le sourire à Trystan... Donnant à cette situation une touche de vérité indésirée. L’avocat fronce légèrement les sourcils d’incompréhension, le regard dardé sur son amant. « Je suis désolé... » « Non.. », souffle Trystan entre ses lèvres légèrement entre ouvertes... Souffle à peine audible pour son interlocuteur... « Je pense que, dès maintenant, nos relations devront s’en tenir à être strictement professionnelles .... », Trystan serre les mâchoires, n’arrivant tout simplement pas à croire ce que prononce Nathaniel, hochant négativement la tête en un signe d’une opposition flagrante. « Même qu’il serait sans doute préférable que tu travailles à distance... »... Son souffle se coupe. À distance? Trystan darde son regard sur son employeur, regard ébaubi, incrédule... suppliant... « Je suis désolé », répète le PDG avant de quitter son bureau, esseulant ainsi l’avocat qui, immobile, laisse tomber sa mallette sur le plancher.

[***]

« Bloody hell.. », murmure-t-il entre ses dents serrées à la vue de sa main ensanglantée. Précipitamment, il ferme le robinet, coupant ainsi l’eau qui lui martèle le dos, empoigne une serviette qu’il enroule autour de sa taille et empoigne une nouvelle serviette qu’il enroule autour de ses jointures fracturées. Cette blessure a besoin d’assistance médicale, il n’y a aucun doute là-dessus. Il peut à peine bouger les doigts sans ressentir une atroce douleur allant jusqu’à lui couper entièrement le souffle. Seulement, l’adrénaline qui a pris possession de son corps rend cette douleur physique futile.

Soudain, un bruit en provenance de l’étage principal attire son attention. Fronçant légèrement les sourcils, Trystan se dirige silencieusement vers la fenêtre de sa chambre pour y constater de nouvelles empreintes sur la neige fraichement tombée. Impossible que ce soit ses propres empreintes puisqu’il est chez lui depuis plusieurs heures et avec la tempête qu’ils se paient, ses pas ont eu le temps de se faire recouvrir. Une nouvelle giclée d’adrénaline se propulse à travers son corps humide alors qu’il prend son courage à deux mains et descend les escaliers menant à l’étage principal. Pour tout dire, Trystan est effrayé... Pire ! Il est complètement en état de panique. Bien qu’il n’ait pas peur d’utiliser ses poings, il craint que sa main fracturée (qui saigne toujours, d’ailleurs) lui retire toute forme de crédibilité. Un second bruit le cloue sur place alors que son regard balaie l’étage, réfléchissant à la vitesse de la lumière. Des pas... Des talons heurtant le sol, fracassant le seuil de sa conscience alors qu’il se tourne tranquillement vers une jeune femme. Un révolver pointé en sa direction, Trystan plonge son regard dans celui de celle qui deviendra sa meurtrière et hoche négativement la tête, « Sixtine? », murmure-t-il enfin, incrédule. Il s’avance de quelques pas, ses mains devant lui jouant le rôle de bouclier, mais la voix hystérique de l’interpellée le clouent sur place. « Un pas de plus et je t’éclate la tête, Williams! ». Le souffle court, n’osant pas vraiment prononcer le moindre mot par peur de, justement, se faire éclater la tête, Trystan glousse. « Je sais ce que tu as fait », accuse-t-elle entre ses dents serrées.

Les yeux de l’avocat s’écarquillent alors qu’il refoule l’idée de Nate et lui dans les abysses de ses pensées. Incapable. Il en est incapable. S’il y a une chose à laquelle il pense automatiquement lorsque Sixtine Lewis lui prononce son accusation c’est bel et bien Nate. « Sixtine, baisse le révolver, on peut en discuter tous les deux.. » « Bullshit ! Discuter avec l’amant de mon fucking mari ?! Mais est-ce que t’es malade?! », non.. mais clairement TU l’es!, avait-il envie de rétorquer mais préfère ne pas pousser à bout la psychopathe sous ses yeux. Il est vrai que parler de sa situation avec Sixtine, là, maintenant, alors qu’elle braque un révolver... Enfin, ce n’est pas le meilleur moment ! « Il ne m’aime pas... », souffle Trystan, détachant chaque mot, la douleur se discriminant à travers le ton de sa voix. « Si c’est ce que tu crains, Sixtine, alors cesse d’angoisser. Nathaniel ne m’a jamais aimé et il ne m’aimera jamais. », paroles prononcées d’un ton grave, chaque mot martelant sa conscience avec de plus en plus de force. Ses mâchoires se serres, réprimant toute forme d'émotion qui pourrait empietter sur son orgueil qui, avouons-le, prend une quelconque place. Hélas, le regard voilé par les larmes, il faut croire que l'orgueil et la fierté prennent rapidement le bord lorsqu'on réalise que la seule et unique personne qu'on aime plus que nous-même est tout simplement incapable de nous aimer en retour. « Réjouis-toi! », finit-il par hurler. « C’est fini, maintenant! C’est fini ! ». Pour la première fois, il a su lire dans le regard de la jeune femme autre chose que de l’hostilité à son égard... Il a su lire non seulement une culpabilité et un regret flagrant, une supplication dissimulée derrière un air grave... Mais également une mélancolie qui la rend beaucoup plus humaine en ce moment d’hystérie. Soudainement, ce côté vulnérable et fébrile qu’il a su lire en Sixtine se cache derrière l’ombre réprobateur que porte son regard. Il y lit une émotion qu’on voit rarement... Une émotion qu’on témoigne lors d’un film ou d’un livre... Une émotion tellement puissante qui lui coupe littéralement le souffle, le statufie, l’effraie carrément. Il y lit de la haine. « Tu as raison. Il ne t’aime pas... Et sois certain qu’il ne t’aimera jamais... », murmure-t-elle. Soudain, le noir.

QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? : développez en quelques lignes votre opinion sur le pays des Merveilles et la situation instable dans laquelle il se trouve suite à l'accident d'Alice.

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? : en quelques lignes votre endroit préféré, parce que ce pays a beau être un cauchemar ambulant, on a tous un endroit pour se reposer et qu'on aime inconsciemment.

« Trystan?! Eh-oh ! », demande, pour une énième fois, une rouquine assise à ses côtés, le tirant de ses pensées. « Quoi? », répond enfin Trystan, incertain. « Tu t’es encore perdu dans tes pensées... » « Oh... », conclue-t-il, plongeant de nouveau son regard dans l’étang d’où son reflet le déstabilise plus qu’autres choses. Tenter de trouver le fond à travers son propre reflet... Tenter de voir qu’est-ce qui s’y cache... L’envie d’étirer son bras et, d’un mouvement, s’effacer de cette eau limpide et pouvoir enfin avoir un coup d’œil sur ce qui l’attend s’il décide lui-même de s’y noyer... Le retrouver? Revoir Son visage? Quand fermer les yeux devient une action bien trop utilisée à des fins autres que biologiques. Quand fermer les yeux nous trahit. Quand fermer les yeux ne nous Le redonne pas, qu’avons-nous donc à perdre? « Qu’est-ce qui possède l’esprit de Trystan Williams au point qu'il en oublie l’univers entier? », murmure-t-elle d’une voix si douce, dénuée d’une quelconque ruse... Purement curieuse... Presque enfantine. Trystan tourne la tête vers son interlocutrice, hochant négativement la tête alors qu’un faible sourire anime ses lèvres... Un faible sourire dissimulant une mélancolie indicible.

FLASHBACK –
Sa main s’unie à la sienne en une pognée alimentée d’une assurance qui est digne d’un Williams. Cependant, cette poignée de main allait tout changer... Cette poignée de main n’a pas uniquement marqué le début d’une collaboration professionnelle entre un avocat et un PDG... Mais également le commencement d’une histoire qu’il n’arriverait pas à contrôler. Tel un choc électrique qui s’empare de son corps, le possédant au point de le statufier, Trystan plisse légèrement les yeux, son regard plongé dans celui de son nouveau client. « Il me fera un plaisir de vous représenter, monsieur Lewis... », murmure-t-il enfin, sa main embrasant toujours la sienne. Contact tellement ordinaire, tellement formel et futile qu’il ne devrait pas ressentir toutes ces émotions partagées à travers un simple regard. Si futile mais ô si déstabilisant, le tirant de son environnement présent au point où il en oublie qu’ils sont tous les deux debout dans un établissement professionnel.

Contact rompu par la secrétaire qui fait son entrée sur scène. Choc électrique affaibli alors que sa main regagne la chaleur de la poche de son pantalon, la serrant au point de se blanchir les jointures. « Monsieur Lewis, votre femme est arrivée... ».... Femme? Fronçant très légèrement les sourcils d’incompréhension, Trystan tourne le haut de son corps alors que les talons de ladite femme heurtent le plancher froid du bureau du PDG, annonçant son entrée avec une classe que Trystan a rarement eu l’opportunité de voir. Il faut croire que Madame Lewis surpasse sa mère quant au niveau de snobisme. Présentations faites, faux sourires partagés, mâchoires serrées, et jalousies mutuelles et secrètes, ils se rencontrent pour la première fois. « Alors, Trystan.. On se revoit demain? », demande le PDG, attirant ainsi l’attention de Trystan. Un sourire anime les lèvres de l’avocat alors qu’il agrippe sa mallette d’une force qu’il croyait inexistante chez lui. « Bonne journée, monsieur Williams ! », entend-t-il prononcer de la part de la secrétaire... Bonne journée?! Très franchement, Trystan ne pense pas pouvoir utiliser le mot « bonne » comme qualificatif pour cette journée. Quittant le bureau principal, Trystan fronce les sourcils alors qu’il desserre le nœud de sa cravate, s’adossant contre le mur. Non seulement venait-il de signer l’un des contrats qui pourrait potentiellement changer sa carrière en son entier, mais le client de ce même contrat... Enfin, tenter d’expliquer les sentiments partagés lors de cette poignée de main... Lors de ce contact visuel... Non seulement cette animosité incontrôlée qu’il ressent envers la femme de Nathanaël... « Calme-toi, Trystan... », se murmure-t-il, la sueur perlant sur son front, la nausée s’emparant de son corps. Une grande inspiration suivie de son expiration... Une seconde... Une troisième interrompue par un fonctionnaire qui lui envoie un signe de tête en guise de salutation... Signe imité par Trystan qui s’éloigne, le pas pressé.

– FLASHBACK

« Une femme? », demande la rouquine, glissant une mèche rebelle derrière ses cheveux. Trystan rompt le contact visuel qu’il partage avec son interlocutrice pour le porter sur le ciel étoilé. Dissimuler son homosexualité n’a jamais été une tâche facile. Mais dans ce monde où le vrai semble être faux, et ou le faux reconnaît sa part de vérité, Trystan n’a plus rien à perdre... Quitte à anéantir les espoirs de cette jolie jeune femme à ses côtés. « Pas vraiment... », un léger rire émane des lèvres de la rouquine... « Des femmes? », légèrement mal à l’aise, Trystan se gratte la nuque alors que son regard bifurque vers un arbre non loin. « ... Un homme? », demande-t-elle incrédule. Regard significatif mêlé à celui de son interlocutrice, l’avocat hoche positivement la tête.

FLASHBACK –
[color=darkgray]« Assoyez-vous... »[color], demande-t-il le plus calmement possible. Ses parents partagent un regard interrogateur alors qu’ils s’assoient sur leurs chaises respectives (car oui, le père Williams et la mère Williams possèdent leurs propres chaises). « Toi aussi, Elisabeth. », l’interpellée, perplexe, prend place aux côtés de madame Williams... Mauvaise actrice, Elisabeth a beaucoup de difficulté à dissimuler son angoisse lors d’une potentielle confrontation, chose qui irrite Trystan tout autant que ça ne lui facilite pas tant la tâche pour ce qui va suivre. « Je dois vous parler... Tous les trois... » « Où est ta sœur? », Trystan baisse légèrement les yeux avant de darder son regard sur son père. Source d’une question d’où le but n’est rien d’autre qu’un échappatoire, habitude qui ne changera jamais, même après soixante années d’existence sur cette misérable terre. « J’ai déjà contacté Effie concernant ce que j’allais vous annoncer... », soudain, les yeux d’Elisabeth s’illuminent. « Nous annoncer? », demande-t-elle. Aussitôt, madame Williams se fait posséder par les mêmes étoiles qui illuminent les yeux d’Elisabeth, se tournant vers elle alors qu’elles partagent un cri aiguë en se tenant les mains. L’enthousiasme d’Elisabeth et sa mère le laisse perplexe jusqu’à ce qu’il réalise enfin ce que ce comportement signifie. « Oh non.. », murmure-t-il pour lui-même, glissant une main nerveusement sur sa nuque. « Calmez-vous ! Calmez-vous! », la voix rauque de son père envahit la pièce, étouffant les cris de joies des deux hyènes. Son regard posé significativement sur Trystan, ce dernier se mordille l’intérieur de la joue alors qu’il remet en question sa motivation de « sortir du placard ».

« Je... », débute-t-il maladroitement, sa voix tremblotant sous les effets de l’angoisse. Étant assis, il se lève et tourne le dos aux « spectateurs » qui le regardent d’un œil intrigué. Il pivote vers ses parents et sa petite amie et se pince les lèvres au point où elles deviennent une fine ligne tracée sur son visage crispé par la désolation. « Je ne vais pas te demander en mariage, Elisabeth.. », annonce-t-il doucement. Un hoquet causé par le choc se fait entendre de la concernée, celle-ci plaquant une main contre sa poitrine. « Même que... Je n’ai jamais voulu te demander en mariage... », Trystan baisse les yeux vers ses pieds... Il trouve le tout complètement ridicule. Pourquoi sauterait-elle à une telle conclusion alors qu’en cinq ans de fréquentation, ils n’ont couché ensemble qu’une seule fois... Sans oublier qu’il ne la touche pas depuis. Comment pouvait-elle sauter à une telle conclusion alors que sa simple présence le répugne plus qu’autre chose?... Un rire s’empare de lui. Un rire frôlant ce qui semble, aux yeux des parents et de la jeune femme, une folie. Il darde son regard sur Elisabeth et son fou rire ne fait que prendre de l’ampleur. « Que tu... », il marque une pause histoire de se rassasier. « Que.. Que tu penses.. Que vous pensez que j’allais me marier avec cette pauvre fille... », il hoche négativement la tête, un sourire pendant à ses lèvres. « Je ne vais pas te demander en mariage, Elisabeth.. », murmure-t-il une fois de plus, faussement désolé. « Je ne demanderai aucune fille en mariage... » conclut-il en bifurquant son regard vers sa mère d’où la déception ne manque pas à ses traits. « Par contre... Je demanderai bien en mariage un homme... Quoique.. », il lève aussitôt les yeux vers le plafond, réfléchissant. Toutes traces d’angoisse se sont dissipées... Toute nervosité, toute crainte, tout effroi... Évaporés... Et un sentiment de soulagement, un sentiment d’aise, un sentiment de bien-être s’empare de lui alors que sa mère et Elisabeth manquent de s’évanouir et que le visage joufflu de son père se peint d’un rouge vif. « Je ne crois pas que ce genre de mariage soit légal par ici... », il baisse les yeux vers ses spectateurs, un sourire nourrit de bien-être se trace à ses lèvres... « J’suis homosexuel. »

– FLASHBACK

« Et quelle était leur réaction? », demande la rouquine, captivée par les paroles de Trystan. Ce dernier hausse les épaules, un faible rire émanant de ses lèvres. « Que voulais-tu qu’ils me répondent?... »

FLASHBACK –
« Je crois que je vais m’évanouir... », murmure faiblement Elisabeth, fermant les yeux et penchant sa tête vers l’arrière. De ses mains, elle tente de se faire de l’air malgré l’échec total de ce geste. « Comment est-ce possible? », débute sa mère, les sourcils froncés. « Trystan Elijah Williams, nous ne t’avons pas élevés ainsi ! », poursuit-elle, se tournant ensuite vers Elisabeth, constatant que celle-ci n’allait pas tarder à tomber dans les vapes. « Robert ! Robert, la pauvre Elisabeth! », s’écrie madame Williams alors qu’elle tente de ventiler la jeune femme à son tour. Cacophonie qui n’a pas tarder à lui pourrir l’ouïe mais, étrangement, l’amusait au plus haut point. Telle est la réaction d’un homme vivant dans le déni pendant plus de vingt-quatre ans. Telle est la réaction d’un enfant devenu maintenant fardeau pour ses parents... Telle est la réaction du jeune garçon qu’ils vont renier à présent. « Trystan... », la voix stoïque de son père envahit la pièce alors que le sourire amusé pendu aux lèvres de Trystan s’efface tranquillement. « Je veux que tu sortes d’ici.. », le patriarche se lève, les poings serrés aux côtés de son corps rond indiquent à Trystan la rage qu’il tente de dissimuler sous son masque placide. « Sors d’ici et ne reviens plus... Tu n’es plus des nôtres.. »

– FLASHBACK

PSEUDO: Nessa AGE: 22 ans COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? J'adore. Sinon je ne me serai jamais inscrite. (: COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? Partenariat avec un autre forum sur lequel je suis ACTIVITE: 5/7 CODE DU REGLEMENT: ici UN MOT POUR LA FIN ? First, j'adore le forum ! Le seul forum du genre qui soit plus original que tous les autres. Second... Je sais que Henry Cavill est en scénario par l'une des membres... Seulement, j'ai prévu une histoire avec un autre personnage du forum, Nathaniel, une très grande partie repose sur le choix des avatars... Comme l'avatar du scénario est négociable, puis-je garder Henryyy? Pleaaaase?