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 Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms.

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Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. Empty
MessageSujet: Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms.   Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. Icon_minitime1Mar 9 Aoû - 22:34


Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. Tumblr_lpm1e5Wr661qeaiaeo1_500
Luka Ezeckiel Turner

« Folle et vaine ambition, celle de l'esprit !
Qu'est-ce donc que la vie ?
Un songe sans sommeil.
Qu'est-ce donc que la mort ?
Le sommeil sans un songe. »

ÂGE: 22ans. DATE DE NAISSANCE: 06Juin. LIEU DE NAISSANCE: Paris. STATUT SOCIAL: Célibataire. ARME CHOISIE: Canne à pêche. MÉTIER: Maïeuticien. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX: ╩ Généreux. ╦ Taciturne. ╩ Attentionné. ╦ Lunatique. ╩ Serviable. ╦ S'emporte facilement. ╩ A l'écoute. ╦ Naïf. CÉLÉBRITÉ: Daniel Radcliffe



raconte moi une histoire

« Un garçon ! » « Une fille ! » « A la maison !! » « A l’hôpital !! » Voilà déjà plusieurs mois que des cris incessants résonnaient dans la spacieuse demeure ; toujours plus violents et tonitruant. A ventre arrondi pointait sous le chemisier de soie de la séduisante femme. Elle dardait un doigt accusateur vers le corps replié dans la cuisine, à l’abri derrière le bar. Elle, une femme à la beauté scandinave incontestée ; ses longs cheveux aussi fins et clairs que les soleils d’hiver du Nord, ses yeux bleus aussi limpides et hypnotiques que les ciels d’étés et sa peau de porcelaine douce comme les plus précieuses étoffes de l’Orient. Lui, un homme au charme indiscutable ; une chevelure d’ébène, épaisse et dense, des prunelles d’un noir profond et insondable et un corps finement musclé mis en valeur par une carnation halée.
Ils étaient radicalement opposés de par leur physique et leurs origines et pourtant… Ils étaient si jeunes lorsque pour la première fois, leurs regards se croisèrent. Elle était la fille d’un réfugié politique suédois. Plusieurs personnes dans ce pays souhaitaient voir cet homme hors du circuit de l’État et, pour atteindre cet objectif, n’hésitaient pas à s’attaquer aux membres de sa famille. C’est ainsi, qu’après l’émission d’une lettre de menace à l’encontre de la petite alors âgée de 6ans, que le patriarche décidait de se rendre en France. Bien éduquée, elle parlait déjà couramment la langue de son pays d’accueil, ainsi que quelques brides d’autres dialectes. Lui était l’unique héritier d’un riche entrepreneur et chef d’entreprise qui possédait des sites internationaux. Bien que français par le sang, il naquit dans les îles et y vécut pendant près d’une dizaine d’années avant d’être rapatrié avec sa famille sur le continent. Ils ne se rencontrèrent pas maintenant bien entendu, mais juste quelques mois plus tard. Ils furent inscrits à la même école, prestigieuse et renommée de la capitale mais dans des classes différentes. Ils ne se croisaient qu’au cours intermédiaire du midi et delà, petit à petit, s’installait leur prochaine idylle…

« Eily ? Tu vas bien ? Tu es toute pâle… » « Nath, si je te dis que… Je suis… enceinte ? » Le critérium s’échappait de la main tremblante de Nathaniel, il fixait d’un air ahuri le visage blême de sa douce fiancée. Eileen jouait nerveusement avec ses ongles alors que son regard ne quittait un point imaginaire sur la fenêtre derrière le jeune homme. Il avait 22ans et elle à peine 19. Abandonnant les schémas et les croquis recouverts de notes illisibles et incompréhensibles, il se levait de son bureau pour se planter devant elle. Elle, si insignifiante et fragile face à lui ; elle lui arrivait à peine à l’épaule. Sans réellement se rendre compte de ses mouvements, la belle se sentit entourer par les bras puissants de son amour, qui comme une barrière souhaitant la protéger, se refermèrent sur sa silhouette gracile et fluette et à son tour, passant ses mains dans son dos et s’agrippant à son haut, elle posait son visage baigné de larmes sur l’épaule forte et solide de son homme. « Ton choix de le garder ou de l’avorter, sera le mien aussi ; je serais là pour toi tu le sais et ceux quelque soit ta décision finale. »
Il venait de décrocher son contrat de pilote de ligne et elle décidait d’arrêter ses études. Toute la famille était réunis autour du jeune couple et de ce futur enfant ; les futurs grands-parents respectèrent le choix de leurs enfants et organisèrent le mariage dans les plus brefs délais. Simple et soft, il fut strictement réservé à la famille et aux proches amis qui déjà s’égayaient de la naissance prochaine…

« Un garçon ! » « Une fille ! » « A la maison !! » « A l’hôpital !! » Et toujours ce même refrain, encore et toujours. Pour plus de confort à la nouvelle génération, les vieux achetèrent une villa en campagne : une maison gigantesque avec un jardin aux allures de parc national ; et l’offrirent en cadeau de mariage aux jeunes mariés. Pour plus de suspense, les deux amoureux ne voulurent pas connaitre le sexe du bébé et bien que la tentation soit grande ; ils résistèrent à touts les assauts de la curiosité. Eileen venait de fêtait ses 20ans il y à peu, avec pour elle seule, la moitié d’un immense fraisier. Son ventre rebondi d’une grossesse de 8 mois la rendait totalement affamée et gloutonne et elle ne se rivait de rien. Évidemment, elle ne buvait pas d’alcool, ni ne fumait et faisait quand même, un tant soit peu, attention à son alimentation ; mais quand une pâtisserie là tentait, jamais elle ne se la refusait !
Son mari était heureux, sans aucun doute ; tout le monde pouvait le lire sur son visage. Le menton posé sur la paume de sa main, il regardait d’un air benêt éperdu d’amour sa douce se goinfrer, et sans un mot, d’une simple caresse ; il lui disait qu’il l’aimait. Elle espérait que le bébé soit un garçon et elle voulait accoucher chez elle. Il voulait une fille et préférerait qu’elle ponde à l’hôpital. Il s’agissait bien là de leur seul point de discorde… Un mois encore se passait sans que le moindre incident ne se produise et la grossesse arriva enfin à son terme.
Comme une horloge minutieuse, le 06juin à minuit pile, les premières contractions se firent sentir. D’abord supportables, Eileen put se lever et prendre une douche sans encombre. Une heure, deux heures, puis trois… La douleur s’amplifiait et les sages-femmes ne savaient plus quoi faire pour soulager la jeune femme. Quelque chose n’allait pas, il devrait déjà être là depuis un moment au vue des données médicales. Car en effet, tout était en place pour les derniers instants de l’accouchement et pourtant, malgré un col dilaté au maximum, malgré des contractions fortes et rapprochées ; il ne se montrait pas… C’est là que les infirmières comprirent… Affolées elles se mirent à appeler à toute vitesse une ambulance et les deux parents ne comprirent pas pourquoi. « Tout va bien Mme Turner, ne vous en faites pas ; il s’agit juste d’un léger… contretemps… » La panique gagnait alors l’esprit de Nathaniel, qui s’imaginait un scénario morbide.
C’est finalement à 05heure30 du matin, dans une clinique réputée de la ville lumière et avec toute sa famille rodant dans les couloirs, que vint au monde dans une scène théâtrale, le très attendu Luka Ezeckiel Turner !

Les mois et les années passèrent et le poupon se muait en un bambin curieux et éveillé. De sa mère, il hérita les grands yeux bleus et la peau d’ivoire et de son père il garda la tignasse corbeaux. Très tôt, ses parents s’inquiétèrent de certains de ses "comportements" et ils décidèrent d’en parler à des spécialistes. C’est comme ça qu’à l’âge de 5ans, ils diagnostiquèrent chez le petit une précocité intellectuelle hors normes, en d’autres termes ; Luka était un surdoué.
Très en avance comparé aux autres enfants de son âge, il sauta une classe en primaire, une autre au collège et encore une au lycée. Il obtint son bac avec une moyenne de 22.06 avec toutes ses options. Car non seulement doué pour les matières intellectuelles, il s’illustrait aussi dans le domaine sportif avec la natation, l’escrime, le tir à l’arc et l’équitation. De part son statut sociale et ce privilège inné, il aurait très bien pût être un salop, un connard invétéré, une crevure internationale mais bien au contraire, il était aussi accessible et simple que n’importe qui. Discutant avec tout le monde, il riait aux blagues les plus stupides avec ses amis et sortait avec eux autant qu’il le voulait. Il ne prenait pas les gens de haut et ne les jugeait pas. Il aimait tout le monde car, pour lui, chaque personne était une entité unique et possédait au fond d’elle un univers propre à découvrir. Il ne voyait pas le mal comme tout le monde et préférait ne pas s’en approcher tant qu’il le pouvait. Mais quand quelque chose n’allait pas pour ses amis, il était le premier à leur venir en aide et par n’importe quels moyens. Il ne comptait pas et se ne se souciait pas de l’argent de son patrimoine. A 16ans, il se prit un petit boulot d’été pour avoir son propre salaire ; se qui lui avait valut pas mal d’admiration de la part de ses amis qui ne l’en trouvait plus qu’admirable.

Depuis tout petit déjà, le jeune Luka avait un rêve ; une songe qu’il s’entreprit de réaliser à l’obtention de son bac. Il s’inscrit à la faculté de médecine et réussi sa première année avec brio. Premier de sa promotion, il n’avait au cours de l’année jamais rechigné à prêter main forte aux autres étudiants ; bien souvent plus âgés que lui. Étant le premier, il put choisir en priorité son prochain cursus… Il fut le premier prit dans le domaine et surtout l’unique homme… En maïeutique ! En seulement un an et demi, il ingurgitait le contenu des quatre années et sortit comme "sage-femme" diplômé. Il avait 18ans… Pendant 4ans il mit au monde un nombre incalculable d’enfants et malgré son jeune âge il était très apprécié du personnel et des femmes enceintes.
Au bout de ces quatre années, il eut droit à un mois entier e vacances et il partit avec sa famille en Angleterre. Une maison secondaire des grands-parents paternels. Là-bas, ses grands-pères et son père l’emmenèrent à la pêche sur un lac privée. Depuis longtemps, les trois adultes rêvaient de cet instant. Une trêve où tout les quatre, ils passeraient un moment ensemble à se raconter des histoires de mecs et tout…

C’est là… Que la nuit prit le pas sur le jour…


Dernière édition par Oz L. Vessalius le Sam 28 Juil - 10:54, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms.   Luka ╬ Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. Icon_minitime1Mar 9 Aoû - 23:06


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Un joyeux non anniversaire

RACONTEZ NOUS VOTRE MORT :
Assis au milieu de cette barque qui avançait lentement sur l'étendue d'eau, il regardait autour de lui comme un enfant curieux. Il parlait avec ses grands-pères et son père qui s'extasiait enfin de ce moment entre hommes. Pour Luka, la pêche n'était pas réellement d'un grand intérêt, comme la chasse d'ailleurs; mais il pouvait ainsi se retrouver avec une partie de sa famille. Quand l'embarcation se stoppa au beau milieu du lac, tous prirent une canne à pêche sauf lui, qui préférait les observer plutôt que de participer. Les minutes passèrent sans que rien ne se passe de passionnant et alors qu'il allait ouvrir la bouche, la voix de son père se mettant à crier l’arrêtait net. Il avait un poisson, enfin! Félicitant son géniteur, il était à présent debout sur le petit bateau à observer l'animal remis à l'eau s'enfuyant. Il ne vit pas se père réarmer l'hameçon et le lancer.

Là, tout se déroulait si vite; il ne comprenait pas pourquoi l'eau se rapprochait de lui et pourquoi, alors que son être entier venait de plonger dans l'abîme sombre et ténébreux d'une immensité glaciale le recouvrant, il ne pouvait plus bouger. Comme paralysé, ses yeux se fermèrent pour la dernière fois au cœur d'un lac; un hameçon planté à l'arrière de son crâne.

QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? :
Je pense sincèrement qu'Alice souffre et que son monde en subit les plus terribles conséquences. J'ai toujours cru que cette histoire n'était qu'un conte de fée pour effrayer les enfants, mais maintenant que j'y suis enfermé; je commence à comprendre que tout n'est pas forcément beau et rose dans ce monde des "merveilles".

Je ne sais se qui arrive à Alice dans le monde d'où je viens, mais je peux assuré qu'elle n'est pas dans la meilleure des formes. Bien sur, parfois le monde se rétablie et reprends des couleurs et redevient un peu plus joyeux; mais, bien trop souvent, il se délabre et dépeint les allures de l'enfer.

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? :
Il s'agit sans aucun doute du Domaine du Chapelier! Endroit fascinant et troublant où l'on peut trouver tant de choses. Que vous essayé de grimper à la tour Horloge, que vous vous cachiez sous la table ou que vous vous reposiez à la fabrique. On ne regrette jamais un passage sur ce territoire aux milles facettes, aux milles saveurs et aux milles senteurs !


HORS-JEU

PSEUDO: Pan. AGE: 18ans et toutes mes dents. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? Hum... Sur internet?!. COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? Mouwhahahahahaha. ACTIVITÉ: Sexuelle?! A non sur le forum? Va savoir. CODE DU RÈGLEMENT: :pikachu: UN MOT POUR LA FIN ? Je vous souhaite un... JOYEUX NON-ANNIVERSAIRE :youpa: .

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