Disturbia Evangeline Jones

« Dans leurs derniers moments la plupart des gens révèlent qui ils sont réellement. »

ÂGE: 24 ans et sûrement pas toutes ses dents. Forcément la sagesse s'acquièrent avec le temps et ce n'est pas dit que Disturbia en ai assez pour les posséder!! Comment aucunes corrélations entre les dents de sagesse et la sagesse même?!? Mais laissez là donc croire ce qu'elle veut croire Oo DATE DE NAISSANCE: Un vendredi treize comme quoi lorsque l'on nait poisseuse, on le fait avec classe et beauté! Mouais!! Allons bon! Disturbia est née un treize octobre et comme pas mal de monde la demoiselle n'a jamais prêté attention à cette maudite légende de "porte malheur". M'enfin faut croire qu'elle aurait peut être du y croire sur ce coup. LIEU DE NAISSANCE: Disturbia est née dans un pays où le froid s'empare de vous à la naissance, où les hivers sont quasi sans fins. Un endroit où la clarté de la neige frôle avec une pointe d'impertinence avec l'obscurité. Disturbia est d'origine Russe, née à Moscou mais ne s'en souvient quasiment plus. Elle est peut être bien plus française qu'elle ne sera jamais russe, peut-être moins anglaise qu'elle ne voudrait le croire, mais elle appartient à jamais à ce monde que le froid réchauffe et consume, en moins de temps qu'il ne faudrait au Chapelier fou pour se mettre en condition avant de boire une petite tasse de thé. STATUT SOCIAL: Si par là tu veux savoir si la belle demoiselle est libre la réponse et OUI et NON en même temps. L'amour lui fait peur, d'ailleurs, l'amour elle n'y croit plus. Dans ce monde n'existe que la violence et la peur. Alors son cœur est bien libre mais à son humble avis personne ne pourra jamais y pénétrer.ARME CHOISIE: L'ombrelle/parapluie et les cartes rasoirs... Comme quoi certaines choses ne vous quittent jamais et ne vous permettent de ne jamais tirer un trait sur le passé... MÉTIER: Disturbia rêvait de comédie, de tragédie. Elle rêvait de vivre mille et une vie. Elle rêvait de gloire et d'éternité. Mais au final, lorsque l'absence d'opportunités se fait ressentir quoi de mieux que de vendre son corps pour survivre. Serveuse en journée, Escort Girl ou tout simplement prostitué la nuit. Voilà ce qui faisait sa réalité. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX: +Souriante -Naïve +Sentimentale -Tragédienne +Douce -Têtue +Débrouillarde CÉLÉBRITÉ: Jessica Stam

RACONTEZ NOUS VOTRE MORT :

"J'ai l'impression que la fin est proche. Que MA fin est proche."

Cours, cours Disturbia!! Il ne te rattrapera peut être pas!

Pourquoi?!? Mais Pourquoi?!? Pourquoi ne t'es-tu pas enfuie bien avant?!? Pourquoi n'as-tu pas écouté cette voix dans ta tête qui te disait que cet homme serait ta perte?!? Oui bien sur il te donnait de l'argent mais après tout il n'était pas le seul. Ils le faisaient tous. Des billets contre de l'amour.

Hummmpff! Nan, des billets contre du sexe! Après tout il faut dire les choses comme elles le sont réellement. L'amour n'existe pas ou n'existe plus. Ce qu'ils veulent c'est de la chair, du sexe. Se sentir vivant et passionné le temps d'une nuit entre tes bras.

Ce qu'ils veulent c'est posséder ton être et se sentir maître, maître pour une fois dans leur misérable existence. Dans leur putain de vie. Leur putain de vie qu'il consume avec une putain comme toi.

Disturbia, mais pourquoi as-tu fait cela?!?

Comment ça ton rêve n'en était pas un?!? Comment ça? Il avait plutôt l'air de ressembler à un cauchemar sans fin!

Vivre de sa passion!! Ça te fait rire?!? Tu n'y crois plus?!? A une époque pourtant tu le pensais! Tu pensais qu'on pouvait vivre d'amour et d'eau fraîche, que l'on pouvait venir à bout de n'importe quoi avec la passion et la volonté de réussir. Mais porte après porte, tu as compris que l'espoir ne fait pas tout. Que la faim te tiraille, que la peur te réduit à néant.

Tu as trouvé cette voie de facilité qui te permettrait de continuer à espérer, tout en continuant à rester en vie. Heureusement que tu était jolie. Ils s'arrachaient tes services ou plutôt ton corps. Ce maudit corps qui les faisait tant rêver, fantasmer. Toi, tu le détestais. Le haissait! De toute manière il était désormais souillé.

"Maman! Tu ne m'avais pas dis que la vie était si cruelle!"

Cet homme, il te possédait depuis le début. Violent, aimant, effrayant mais riche, très riche. Il te donnait ce qu'il te fallait. Il te permettait de vivre une partie de ce rêve consacré au succès. Mais pourtant tu le savais. Il ne tournait pas rond. Ses humiliations, ses gestes. Tout te montrait en lui, tout montrait que tu risquais d'y laisser bien plus que ta maudite vertu et conscience.

Mais pourquoi ce soir?!? Pourquoi maintenant?!? En avait-il assez de s'amuser avec toi?!?
Je ne le sais pas. Tout comme toi!

Tout ce que tu sais en cet instant, c'est qu'il faut absolument que tu partes.

Cours Disturbia! Ne t'arrêtes pas!

Croire que l'on peut échapper à la mort et parfois une idée ridicule. Mais l'on voit bien qu'au final, chacun espère dans ces derniers instants de vivre, ou de survivre quelques instants de plus.

Mais lorsque sa main saisie ta longue chevelure, tu comprends que le jeu est fini. Tu as voulu croire à un monde où les princesses existent. Et bien, tu te trompes ma belle Disturbia! Tu as vendu ton corps au Diable et le voici venu prendre ton âme.

Ses doigts se referment sur ta gorge et soudainement tu es immobilisée. Mais ce n'est pas ce geste qui te paralyse, c'est cette lame qui s'introduit dans ton corps encore et encore. Ce souffle que tu sens contre ta nuque. Ce rire qui te dit que ta vie est finie.

Ton corps se retrouve soudainement sur le sol froid et humide, d'une ruelle mal éclairée de Londres. Tu penses en avoir finie! Tu penses pouvoir te laisser partir. Mais soudain, tu sens tes côtes se briser une à une sous l'impact des coups de ton agresseur.

Une larme roule sur ta joue.

"Maman! Ne me laisse pas seule! Pourquoi tu n'es pas là?!? Pourquoi me fait-on ça?!?"

Tu sais que tu as fait de mauvais choix, mais pourquoi ça?!?

Sa main plonge une dernière fois vers toi et t'enfonce ce couteau dans l'abdomen. Sa main se retire et recommence encore une fois. Dans un dernier rire sadique, ton agresseur (bienfaiteur maudit), te crache au visage et bredouille de vilaines paroles.

"Maman, les hommes sont-ils tous comme ça?!?*

Et il te quitte, te laisse là! Seule! Dans le noir et dans le froid d'une nuit hivernale à Londres. Tu ne sens plus ton corps. Les cris ne parviennent toujours pas à percer tes lèvres, d'un rouge rivalisant d'insolence avec le sang qui s'écoule lentement de ton corps.
Tu sens ta fin venir. Ton souffle se fait plus lent.

Que ça fait mal de mourir. Mourir seule. Mourir dans ce froid qui a toujours caractérisé ta vie.

Petite Disturbia fermes les yeux. N'hésites pas!

QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? : Quel étrange endroit que celui-ci. Chercher à y comprendre la logique relève de l'absurdité! Tout dans ce pays est contradictoire. Vous pouvez devenir énorme ou minuscule en quelques secondes soit en mangeant un gâteau à l'air appétissant soit en buvant une boisson à l'apparence plus qu'attirante. Les horloges, quant à elles, se battent pour donner l'heure la plus incohérente. Les aiguillent défilant selon leurs envies à une vitesse des plus réduite ou s'élançant dans une course effrénée.

Cet endroit est des plus bizarres, ma chère Disturbia. Sa clarté, par instant, va te toucher au plus profond de ton être et sa noirceur va te plonger dans les méandres les plus sombres de ton âme.

Ma chère Disturbia mais quel est donc cet étrange lieu? Les fleurs te parlent comme si tout ceci était des plus normal, des oiseaux à drôle d'allure passent devant toi et essaient de te guider vers des lieux que tu n'aurais jamais soupçonné d'exister. Des créatures étranges et effrayantes font leurs apparitions en poussant de vilains cris stridents. Mais quel est donc cet endroit ma belle Disturbia? Est-ce réel? Tes souvenirs sont tellement flous, que tu ne sais plus où tu en es exactement.
Les insectes, quant à eux, se veulent parfois à taille normale et d'autres fois ces derniers te dépassent d'un bon mètre. Toi qui en a une peur bleu te voilà servie.

Es-tu en enfer ma belle Disturbia? Dans un univers où le soleil disparaît en quelques secondes pour laisser place à un gris quasiment indéfini. Dans un monde où la chaleur d'une journée d'été disparaît pour laisser place à un vent parfois plus glacial que celui que tu as pu connaître dans ton ancienne vie. Mais quel est donc ce pays où rien n'est stable, où tout s'écroule et rien ne dure?
En tout cas ma chère Disturbia n'est pas peur, tout ira bien! Tu peux espérer, il le faut absolument. Tu dois continuer à espérer car sans espoir, cet étrange pays te mangera sûrement tout cru dès l'arrivée du soir...

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? : Que ne fut pas ta surprise et ta peur lorsque tu arrivas en ces lieux mais pourtant même si les premiers semaines, jours, heures ou minutes, tu ne réussis pas à fermer l'oeil de la nuit, seule cet endroit t'apaisait.

Près d'un arbre à la lisière du bois de Tulgey, tu fixais avec une extrême tristesse cette falaise d'un blanc immaculé. Comme attiré, tu voyais peut être en elle, un échappatoire à ce monde étrange et lugubre. Mais à chaque fois que cette idée traversée ton esprit, chère Disturbia, ton corps se crispait comme si soudainement l'on t'arrachait ton cœur.

Cet endroit te redonnait donc courage et force et te permettait également de craquer librement avant de devoir affronter à nouveau ces étranges habitants, peuplant cet étrange endroits.

Le temps passait, tu ne savais pas si il s'agissait de jours, d'heures ou de secondes mais les bois de Tulgey, aussi dangereux soient-ils, te rassuraient et devinrent pour toi comme une sorte de maison ou de lieu de réconfort. Tu commençais à les connaître. A connaître leurs possibilités et leurs dangers et nous savons bien que lorsque l'on connait un endroit dans son intégralité ou une personne, même si le tout n'est pas de bonne augure, on supporte mieux d'y vivre ou d'y évoluer.

raconte moi une histoire

Je ne sais pas réellement si tu te souviens de tout ça, mais cette nuit-là, la neige recouvrait le moindre de nos pas. Moscou avait des airs de ville fantomatique et étrangement nous trouvions tous cela reposant. Le calme de cette nuit là, accueillit donc le premier de tes cris. Née avant minuit, née dans un hôpital d'un des vieux quartiers de la ville, tu as alors inondé de bonheur tes parents. Étrangement, ils virent en toi une futur étoile mais on ne sait pourquoi ta mère te prénomma Disturbia. Un prénom à la résonance dure et grinçante qui pourtant t'allait comme un gant.

Rien en toi ne présumait ton origine russe, hormis peut être, ta ressemblance avec la femme qui t'avait mise au monde ce soir là. Ta blondeur caractéristique de l'europe de l'est, ta délicatesse digne d'une tsarine russe et ta pâleur que seule la neige sait embellir, tout ceci pouvait éventuellement rappeler la froideur et la splendeur de ce pays. Ton père quant à lui, t'avait donné ses grand yeux bleus/gris et son nom de famille à la résonance si anglaise. Cela expliquait peut être pourquoi tu n'avais pas grandit dans ce pays, pourquoi toi et les tiens aviez fuit cette Russie belle mais oppressante. Cette Russie des inégalités qui ne laissait pas forcément la place à tout le monde de réussir.

Ton père vous avez guidé à travers l'Europe, pays après pays. Pour y découvrir les habitudes, pour y apprendre la culture locale. Il aimait apprendre, il aimait savoir, toujours plus. Tu ne te fixais donc jamais bien longtemps au même endroit. Tu ne te liais donc que très rarement d'amitié avec d'autres. Tu t'inventais tes mondes à toi, te créais tes propres amis et luttais contre d'innombrables ennemis. Ce goût de la mise en scène tu le conservas en grandissant. Et la fleur délicate russe que tu étais, séduisait n'importe quel âme pénétrant ton monde, parfois obscure mais bien plus souvent lumineux et brillant.

Tes valises se posèrent, cependant, durant de nombreuses années dans l'Est de la France. Ce pays où la langue était une ôde constante à la joie, à l'amour mais également à la tragédie et à la douleur. Ce pays où l'art et la comédie étaient des mots qui résonnaient avec une telle puissance que soudainement tu te sentais, pour une fois, chez toi.

Tout te plaisait dans ce pays, la froideur des hivers et la chaleur des étés. Tu aimais ces paysages qui caractérisaient l'Est de ce pays. Ces paysages parfois inquiétants accueillant la pluie avec une certaine mélancolie et la brume envahissant les terres avec une lenteur presque effrayante. Tu aimais également la clarté de ces levers de soleil, ces couleurs rouges et or inondant les plaines avec force et vitalité.

Vous viviez presque en harmonie. Ta beauté continuant à grandir, tu étais rapidement devenue cette fille de l'est que tout le monde voulait côtoyer. Pensant peut être que tu ramenais avec toi quelques récits folkloriques. Mais les curieux de service se lassaient vite de toi, surtout après avoir mené leurs enquêtes et s'être aperçu que tu n'étais pas de ce genre là et qeue tu ressemblais plus à une enfant chérie et élevée en marge de la société.

Tu demeurais alors étrange à leurs yeux, toujours dans la lune, toujours tiré à quatre épingles et le nez plongé dans un livre. La lecture était une de tes plus grandes passions après la comédie. Tu aimais lire pour entretenir ton imagination. Tu t'inventais plusieurs vies, continuais à faire vivre tes héros favoris même une fois ta lecture terminée. Tu apprenais beaucoup de l'Homme à travers tes romans, mais t'en créais peut être une image trop lisse .

Les années passaient et tu menais une existence ordinaire. Le fait de rester vivre en France, te permit de développer un cercle amicale, de fréquenter une école comme toutes les autres et de t'adapter un peu mieux à ce monde qui devait être le tien pour de longues années.

Ta soif de tragédie fut épongée durant quelques années par le petit club de théâtre de ton village mais tu savais au fond de toi que ce dont tu rêvais, se trouvait ailleurs qu'ici. Tu quittas donc la France et t'envolas, pour la première fois et surtout seule, à Londres. Cette ville n'était qu'une étape pour toi. Tu voulais juste t'y faire remarquer et peut être un jour partirais-tu pour atteindre ton rêve ultime, que représentait pour toi, Brodway.

Mais lorsque tu arrivas là bas et que ton regard se posa pour la première fois sur Trafalgar Square, ton cœur se stoppa et cette ville s'empara de toi. Remplie d'espoir tu écumas jours après jours les théâtres, les auditions et les cours de comédie... Tu ne lâchas jamais cette idée de devenir un jour une étoile parmi les étoiles. Tu voulais vivre ton rêve et jamais tu ne laisserais personne te réduire à néant et te faire abandonner ce projet. Alors jours après jours tu acceptas les remarques.
Tu étais parfois trop jolie à leurs yeux, parfois trop pâle, trop tragique, pas assez marrante ou avenante. On te trouvait certaine fois trop maigre mais on notait bien souvent une force et une fragilité très contradictoire qui se battaient en toi. On te rappelait souvent pour un deuxième essai et bien souvent tu repartais sans rien, juste avec tes yeux pour pleurer. Pleurer encore une fois de plus un échec. Tu te sentais honteuse puis retrouvais la force de continuer. Tu cachais le tout aux tiens qui espéraient et misaient tellement sur ta réussite.

Tu ne voulais pas entendre dans le son de leur voix ce petit truc qui te ferait alors comprendre qu'ils n'ont plus confiance en toi, alors tu t'inventais une vie. Mais pour s'inventer cette vie il fallait se donner les moyens et l'argent. Mais l'argent à vrai dire se faisait rare. Ton petit travail de serveuse ne pouvait pas te permettre de continuer à ce rythme là et de cela tu en étais bien consciente. Toujours dans la lune, disait-on?!? Mais étrangement parfois tu comprenais plus vite que la moyenne la dureté de la réalité.

Et c'est lors d'une de ces soirées où tu faisais semblant de réussir que tu compris que ta beauté pourrait te servir. Ces hommes te regardaient avec envie et désir. Tu n'était pourtant pas ce genre de fille, mais la faim qui te tenaillait et le désir de réussir te poussèrent vers ce chemin qui serait alors ta "FIN".

Perdue entre un rêve virginal d'enfant et un cauchemar effrayant, tu naviguais dans des eaux troubles et peu à peu, tu perdais espoir. Tu te raccrochais frénétiquement à ton rêve mais nuis après nuits, à force d'être souillait, tu savais bien que ce dernier ne se réaliserait jamais.

Ta stupidité et ton désir de réussite t'avaient mené en cet endroit et désormais tu en étais prisonnière. Les hommes te traitaient avec amour, avec mépris, quelque fois avec douceur et bien souvent avec cruauté. Heureux de pouvoir posséder un corps comme le tien, une beauté de l'est, comme ils ne pourraient jamais en avoir sans allonger les billets.

Mais leur argent te permettait encore d'y croire, car sans cela tout s'écroulerait et cela tu ne le voulais pas. Tout ceci te mena donc à ta perte. A cet homme que tu sentais plus que n'importe lequel, dangereux mais dont tu ne pouvais refuser l'aide pécuniaire.

Tu signas avec le diable, belle enfant parfois trop innocente, et désormais tu connaitrais la fin de ton histoire car dans la pays d'Alice les rêves n'existent plus mais les cauchemars, quant à eux, sont biens réels et risqueraient de te faire regretter la douceur de ta première mort.

PSEUDO: Nothing Else Matters AGE: Un certain âge... Ça vous va où j'dois vraiment le détailler MDR Dans ce cas on va dire que je suis certainement plus âgée que la plupart d'entre vous :D COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? Ehh bien!! C'est un réel coup de cœur. Moi qui cherchais un forum où je puisse me relancer dans le RP lorsque j'ai découvert ce dernier, j'en suis tout simplement tombée amoureuse. Le contexte est frais et original et c'est une sorte de petit défis, rien que pour moi, y arriverais-je?!? Ne suis-je pas trop rouillée?!? En tout cas, félicitations à vous pour ce magnifique projet :D COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? Une amie qui surfait de RPG en RPG et qui est venue me voir pour me dire qu'elle avait vu une création à moi portée par un membre. Je suis venue voir et Ohhh surprise depuis je suis tombée sous le charme et me suis décidée à passer le cap de l'inscription. ACTIVITE: Pour le moment je vais dire quatre jours par semaine mais cela risque de ré-augmenter après les fêtes de fin d'année. CODE DU REGLEMENT: Alice's madness UN MOT POUR LA FIN ? Je me lancerai avec joie dans une petite danse du guiguendélire, mais j'ai peur de chopper un p'tit lumbago, donc je m'échauffe et on en reparle :D