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 Conversation avec une femme - PV Franciszek -

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MessageSujet: Conversation avec une femme - PV Franciszek -   Conversation avec une femme - PV Franciszek - Icon_minitime1Lun 7 Nov - 20:16

Conversation avec une femme - PV Franciszek - Tumblr_lryhjyHsHW1qfhh6q

« Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. » Dr House


Le Jardin à croquer. Il était apparu depuis peu et je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de m'y rendre, je le regrettais. Si le bois de Tugley n'avait plus vraiment de secret pour moi, cet endroit m'était totalement inconnu et je ne tenais pas spécialement à m'y attarder seule, du moins pour le moment. Je ne savais pas ce qu'on pouvait y trouver et je n'est jamais été de nature très courageuse. Il faisait plutôt beau aujourd'hui, et on pouvait dire que le spectacle qui se présentait sous mes yeux était incroyable. Il y avait des fleurs partout, des arbres et des fruits à chacun des coins, certains plus ou moins vivants... On ne savait pas trop ce qu'on pouvait manger ou non, ce qu'on avait le droit de toucher et ce qu'on risquait si on le faisait. je me méfiais de tout et me surprenais à vouloir la présence de Jake. Tout était étrangement coloré et ça jurait franchement avec le reste du paysage. Je gambadais dans le jardin comme la très jeune Alice l'avait surement fait avant moi, de manière très infantiles. Je cueillais la moitié des fleurs qui se présentaient près de moi et j'aurais même juré que certaines s'approchaient pour que je le fasse. Certaines sentaient la réglisse, d'autre la menthe, parfois on pouvait en trouver parfum vanille... Comme une grosse glace. Toutes ces choses, plus irréelles les unes que les autres semblaient sortir tout droit de mon imagination, cette part de folie que j'avais bien avant de me prendre les pieds dans cette foutue marionnettes. Oui car bien avant que je ne m'explose le crane contre le marbre, je n'ai jamais été très nette dans ma tête, j'évitais seulement de le laisser divaguer... pour lui

Je suis le coeur brisé de Jack


Tout ce qui pouvait me contrarier était resté au porte de ce jardin et rien ne pourrait la franchir. Ici je préférais tout oublier, tout éviter. Chaque problème n'avait pas une place précise dans ma tête, tout était en perpétuel changement de place, rien n'avait de sens. Mon cerveau était chaque jour un peu plus en ébullition, il me fallait mettre ça de côté si je ne voulais pas être prise d'une folie encore plus grande. C'est pour cela que je ramassais des fleurs, toutes plus belles et plus colorées que les précédentes. Il m'arrivait parfois dans croquait un pétale, oui certaines me semblait comestibles. Comment résister à cette odeur de pomme fraiche ? Cela m'était impossible. Il me semblait que certaines personnes posaient mon visage sur cette odeur, me reconnaissait à ce sentiment d'être embaumé du jus si délicieux, de ce fruit défendu. Elle me correspondait bien, la pomme. Envoutante mais mystérieuse par sa simplicité, banale d'apparence mais toujours plus acidulé à l'intérieur. Non, enfaite c'était tout mon inverse, mais qu'importait, j'aimais ce fruit et m'étais décidée à engloutir tout ce qui se rapprochait de près où de loin à ça. Plus rien ne semblait réel parmi les jonquilles et les marguerites. Quelques roses semblaient bouger entre deux brises d'air, tandis que leurs couleurs pouvait tout aussi bien atteindre le pourpre que prendre l'aspect d'un blanc immaculé.

Je suis l’absence totale de surprise de Jack...


Il était là, derrière un arbre en train de ne faire je ne sais quoi. Pourquoi avions nous toujours la malchance de nous croiser à chaque recoin de ce monde sordide ? Ce n'étais pourtant pas si étonnant, nous nous croisions sans cesse ! C'était surement la dernière personne que j'avais envie de voir et je n'étais pas spécialement claire dans ma tête aujourd'hui. J'étais tranquillement occupée à essayer d'attraper un papillon-tartine-beurrée quand il m'a aperçue. Il doit avoir une sacrée image de moi... J'avais envie de gouter leurs ailes, j'étais d'humeur particulièrement gourmande aujourd'hui. Si je détestais le beurre salée, je pouvais aussi bien raffoler d'une tartine simplement recouverte de cette matière jaune, douce évidemment. Le demi-sel ne me convenait pas non plus. Mon inconscient pour poussait pourtant à me rapprocher de lui, ou bien était-ce simplement ce papillon qui s'acharnait à nous rejoindre avec ses jolies ailes appétissantes. Je ne me souvenais même pas de son nom, il me l'avait pourtant dit une fois. Il était tout à fait imprononçable pour moi, je me contentais donc de l'appeler "gamin", ou de ne pas l'appeler du tout. Ses surnoms à lui étaient pour le moins originaux, enfaite ils n'étaient pas vraiment plus affectifs. Si je n'étais pas une folle à ses yeux, j'étais surement plus proche de l'age d'une momie que du sien. Je ne l’appréciais pas franchement, enfaite non je ne l'aimais pas du tout. Il semblait s'obstiner à me sous estimer et me prendre de haut, bien que je ne le connaisse ni d'Eve ni d'Adam. Je ne savais pas si c'était le destin qui s'amusait à nous faire nous retrouver, ou si il me suivait simplement, mais vu sa mine déterrée, je doutais qu'il puisse souhaiter ma compagnie !
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MessageSujet: Re: Conversation avec une femme - PV Franciszek -   Conversation avec une femme - PV Franciszek - Icon_minitime1Mar 8 Nov - 17:48

    Je m'arrêtais net. Où étais-je encore tombé ? Face à moi s’étendait un grand jardin, aux mille couleurs. Du jaune, du rose, du rouge, du bleu, du violet, du vert. Il y avait de tout. Des odeurs sucrées et délicieuses émanaient de chaque plan, chaque fleur, chaque feuille, chaque racine. Je n'étais même pas à l'intérieur que je haïssais déjà cet endroit. C'était, trop de couleurs, c'était trop vif. Cela me brûlait les yeux, je n'aimais pas, je voulais m’enfuir à toutes jambes. Moi j'aimais le sombre, et la sobriété. Ici, c'était tout le contraire. Le ciel était d'un bleu éblouissant, et le soleil brillait haut. Je me décidais tout de même à entrer dans le jardin, glissant dans les allées. Je voyais des animaux partout, une faune et une flore inexistantes en Irlande. Tout me semblait laid, irréel. J'avais l'impression de me retrouver dans l'imagination d'un gosse de sept ans en plein rêve. Je continuais à déambuler, l'odeur sucrées me rendait presque ivre. J'aurais préféré avoir le nez bouché, je plissais les yeux. Non loin de là, il y avait un arbre. Ses longs branchages offraient de l'ombre. Je pressais le pas, afin de m'y réfugier. Je voulais m'éloigner le plus possible de toutes ces tentations. Je m'adossais donc à l'arbre, et appréciais le calme qui y régnais, là dessous les branches. Ce dernier était vraiment massif, ses racines s'étendaient assez loin, s’entrelaçant entre elles. Il possédait un tronc large et noueux, et ses feuilles avaient un vert vif presque aveuglant. Il y avait aussi de gros fruits bleus, et d'autres rouges, nichés dans ces dernières.

    Alors que je jetais un coup d’œil derrière moi, afin d'épier le jardin, je vis comme une femme, un bouquet de fleurs à la main. Elle courait derrière je ne sais quel animal vivant dans ce pays de merde, mais elle était bien là. L'air toute guillerette, gambadant comme une petite gazelle dans sa grande gazelle. Pitoyable. Si quelqu'un avait sa place ici, c'était bien elle. Je posais sur elle un regard méprisant. Je plongeais les mains dans les poches de mon jean, puis je sortais de ma ''cachette''. Peut-être que je m'étais retrouvé dans son imagination, et pas dans celle d'un gosse de sept ans. Eh bien, si c'était le cas, elle avait une drôle façon de penser, pour une femme de son âge. Je l'observais avec un sourcil haussé et un sourire moqueur, cette fois-ci. C'était assez drôle. Je m'approchais alors d'elle, ce même air railleur sur le visage m'allant si bien. Je pris son poignet, le tordant entre mes mains, afin qu'elle cesse de sauter partout. J'étais d'humeur exécrable, j'avais envie d'être mauvais et désagréable. « Eh bien, tu joues encore à ça à ton âge ? » Lui demandais-je d'un ton froid et cassant, alors que la proie qu'elle poursuivait s'envolait à tire d'aile, loin de nous.

    Mes yeux froids la détaillaient sans retenue, et je serrais la pression de mes doigts autour de ses mains. J'espérais très fort qu'elle ait mal, en cet instant. Non, je n'irais pas jusqu'à dire que j'avais plaisir à lavoir souffrir, mais j'avais plutôt envie de la ramener sur terre. Et lorsqu'on rêvait, on nous demandait de nous pincer. Peut-être que là, il fallait y aller plus fort. Lui tordre le poignet me semblait donc une bonne solution pour la ramener à la raison.
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MessageSujet: Re: Conversation avec une femme - PV Franciszek -   Conversation avec une femme - PV Franciszek - Icon_minitime1Mer 9 Nov - 13:21

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« Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. » Dr House


Il s'approchait de moi rapidement, comme un grand nuage noir et menaçant sur le jardin. Un regard méprisant était collé à son visage, je le détestais. Je ne prêtais pas attention à sa venue et tentais toujours t'attraper ce papillon, mission impossible. Je n'étais qu'a quelques centimètres de lui, à seulement deux doigts de cette grosse brioche volante qu'une main froide m'attrapa par le poignet. Interrompue dans mon saut; on ne peux pas dire que je retombais avec légèreté sur le sol. Il me fixait alors sans relâche, me regardant de bas en haut avec méprit. Ses doigts sur ma peau me faisait une étrange impression, je voulais qu'il les enlèves. Alors que je jetais un regard déçus au papillon qui s'en allait je ne sais où, je sentais son étreinte se resserrer. Je me tournais vers lui, perdant mon jolie sourire enfantin pour essayer d'adopter un regard condescendant qui, il fallait bien l'avouer, ne m'allait pas le moins du monde. Seulement tournée à demi vers lui, je perdais toute envie de jouer en quelques secondes. Sa voix dure et peu amicale s'adressa à moi comme on s'adressait à une enfant qui n'en faisait qu'à sa tête. « Eh bien, tu joues encore à ça à ton âge ? » Je ne comptais pas répondre et tentais de me dégager mais la pression de ses doigts se fit plus forte, il commençait à me faire mal. Ce jeune homme avait beau être plutôt fin et peu imposant, il me faisait chaque fois un peu plus peur, par la façon dont il aimait me soumettre et me faire souffrir. J'avais beau être plus âgée, je n'en restais pas moins totalement impuissante sous son emprise. Je n'ai jamais su me défendre de toute manière.

Prenant un air hautain et supérieur, je lui dis d'un ton sec « Je ne vois pas en quoi cela te regarde gamin, laisse moi tranquille ou.... Je.... » Ou comment perdre toute crédibilité. Je ne savais pas du tout comment terminer ma phrase, il n'y avait même pas de police ici, et je ne pouvais pas l'empêcher de se balader. Soupirant, je regardais mon poignet en grimaçant avant de dire « Eh puis que fais-tu là aussi ??? Ce n'est pas vraiment ton genre les jardins colorés, tu est plus habitué à l'enfer toi !!!! » Aucune répartie... Il commençait sérieusement à me broyer le poignet et c'est en grimaçant que j'arrivais enfin à me dégager de son emprise. Je massais doucement le membre endoloris et rougis par ses doigts fins et me retenais de ne pas lui en mettre une. Je plongeais mon regard dans ses yeux noirs et me rendais soudain compte que j'étais tout sauf menaçante. Il faudrait peut être que je m'entraine à avoir de l'autorité un de ces jours... Heureusement je n'ai jamais eu d'enfant, ressembler à une bombonne et prendre 15 kilos ce n'était vraiment pas dans mes projets, et puis à voir la tête qu'un gamin avait à la naissance, très peu pour moi. De toute manière j'étais trop maladroite pour m'occuper d'un enfant, je n'étais déjà pas capable de m'occuper de moi même... Il aurait surement fini par m'échapper des mains, explosé par terre, avant d'avoir su dire "Maman".

Bref où en étais-je ? Ah oui ce gamin. Mais comment il s'appelait déjà, je n'aimais pas ne pas pouvoir mettre de nom sur quelqu'un, c'était bien trop mystérieux pour moi ! Je profitais donc de ce court moment de silence pour dire d'un ton faussement intéressée « Comment tu t'appelles déjà ? Je me souviens que tu as un prénom bizarre et imprononcable, mais je n'aime pas ne pas avoir le nom de la personne qui me fait chier à chaque fois que je l'a croise !!! » Oui il était possible que je commence à m'énerver... Il le cherchait bien aussi. Je perdais toute espoir d'avoir une fin d'après-midi tranquille et me décidais à lu parler quand même, je n'avais plus que ça à faire de toute façons...
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MessageSujet: Re: Conversation avec une femme - PV Franciszek -   Conversation avec une femme - PV Franciszek - Icon_minitime1Dim 13 Nov - 19:05

Je la fixais, presque méchamment. C'était surtout de la provocation, venant de ma part. Car je prenais un malin plaisir à faire souffrir moralement aussi bien que physiquement cette femme. « Je ne vois pas en quoi cela te regarde gamin, laisse moi tranquille ou.... Je... » Bredouilla-t-elle. J'éclatais de rire. Un rire froid, moqueur. Ce rire reflétait complètement ma personnalité. C'était tout à fait hilarant d'entendre ses répliques. « Eh puis que fais-tu là aussi ??? Ce n'est pas vraiment ton genre les jardins colorés, tu est plus habitué à l'enfer toi !!!! » Je ne répondais rien à ce commentaire inutile. Car au fond, aucune personne ne savait si elle était plus vouée à l'Enfer qu'au Paradis. Il y avait les justes et les injustes. Les bons et les mauvais. Les gentils et les méchants. Je préfère me ranger dans aucune de ces catégories. Car qui sommes nous réellement ? Dans ce monde, nous sommes des pions sur un échiquier. Je relâchais la pression de mes doigts sur le poignet de la femme, la libérant de mon emprise. « Comment tu t'appelles déjà ? Je me souviens que tu as un prénom bizarre et imprononçable, mais je n'aime pas ne pas avoir le nom de la personne qui me fait chier à chaque fois que je la croise !!! » me demanda-t-elle. Je la fixais d'un œil mauvais, enfournais mes mains dans mes poches. Je me penchais ensuite vers elle. « Eh bien écoute, tant mieux si tu ne connais pas mon prénom – pardon, si tu ne t'en souviens pas. Je suis de plus, vraiment ravi de te casser les pieds. » Ton ironique. J'étais une vraie saloperie. Un sourire moqueur étira mes lèvres. Elle ne me supportait pas, ne m'aimait pas – me haïssait peut-être ? C'était tout à fait réciproque. Mais je prenais plutôt cela comme un jeu. Car un certain ravissement m'envahissait lorsque je la croisais. J'allais enfin pouvoir m'amuser un peu. J'étais souvent qualifié de ''personne conduisant à l'exaspération, qui peut provoquer des accès de colère''. Ce rôle me plaisait.

Je l'observais en silence. Je n'avais rien à dire à cette femme. En fait, j'attendais qu'elle réagisse, qu'elle s’énerve, qu'elle fasse quelque chose. Histoire de rire, de l'enfoncer un peu plus. Oui, j'aimais bien me moquer, c'était une mauvaise habitude qui me hantait depuis bien longtemps. D'ailleurs, mon frère qui m'avait choisi comme modèle me ressemblais beaucoup, tant au plan physique que psychologique. Et nous aimions cela, car nous étions invivables, et pourtant parfois attachant. Kasper. Je donnerais tout pour te revoir, mon frère... je reportais mon attention sur la femme, ce même sourire sur les lèvres.
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MessageSujet: Re: Conversation avec une femme - PV Franciszek -   Conversation avec une femme - PV Franciszek - Icon_minitime1Lun 14 Nov - 8:48

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« Si vous parlez à dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond c’est que vous êtes schyzo. »
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Il me faisait un peu peur, avec son regard menaçant là. Je m'éloignais instinctivement de lui, reculant mon buste de seulement quelques centimètres. Je savais que ça ne servirais strictement à rien, à part prouver que j'étais plus faible que lui. J'évitais de rester trop près de lui, ne sachant pas réellement pourquoi.

U.C
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