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 love,hate, such a fine line ς Hadès

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MessageSujet: love,hate, such a fine line ς Hadès    love,hate, such a fine line ς Hadès  Icon_minitime1Ven 2 Déc - 16:21

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La jeune femme, allongée sous les couvertures, ouvrit les yeux brusquement. Allongée sur le dos elle ne perçu alors rien, aucun bruit, aucune lumière, rien qui permettait de savoir l'heure. Elle s'assit et jeta un regard circulaire autour d'elle : la chambre de composait de quatre murs tapissé de rouge. Rouge également étaient les épais rideaux de velours suspendus au dessus de la fenêtre. Elle décida de se lever et les ouvrit d'un coup sec. Elle eut peur que ce bruit n'alerta les gardes mais non pensa-t-elle les gardes ne viennent jamais ici ...
Elle s'était trouvée à son arrivée au Pays de Merveilles une chambre libre dans le château de la reine rouge, dans le quartier occupé autrefois, avait-elle crû comprendre, par les rares personnes de trouvant dans ses bonnes grâces.
Devant la coiffeuse, elle inspectait sa cicatrice, l'immonde brulure qui lui encerclait le cou. Elle était moins rouge désormais, à peine plus foncée que sa peau mais elle restait cependant d'un froid glacial, comme si son sang avait décidé de plus irriguer cette partie de son corps. Elle mis un collier pour cacher l'immondice puis enfila une robe de velours tout aussi rouge de ce qui l'entourait. Elle était contente d'avoir trouvé cette chambre, elle y avait trouvé tout ce dont elle avait besoin, bijoux, robes, chaussure ... Une fois prête elle s'observa à nouveau dans la glace. Elle avait une mine horrible, le rouge sang de la robe et son opulente chevelure noir corbeau lui blanchissait le teint au point que ce dernier paraisse maladif.
Elle passa la tête par la porte, la voie était libre, alors elle s'élança dans les couloirs du château qu'elle considérait désormais comme sa maison. 

Elle ne croisa aucun garde, ce fait lui fit penser qu'il devait être bien plus tôt que ce qu'elle avait pensé, on n'était jamais sûr de rien ici. Dans les allées du labyrinthe rouge, qu'elle connaissait désormais par coeur, elle s'arrêta et cueilli une rose. La rose en main elle se mît à marcher à vive allure. 

Elle ne savait où elle allait , elle s'en moquai pour tout dire, elle détestait ce monde, semonce était contre nature, à quoi bon subir une deuxième vie ? Cette deuxième vie cependant lui offrait une chance, une chance unique, une chance enfin d'assouvir sa vengeance. 
Depuis son arrivée, elle n'avait encore jamais vu ce lieu, cette île, mais sa silhouette qui se dessinait tant bien que mal au travers de la brume matinale l'intriguait. 
L'île semblait assez proche pour y aller en nageant mais bientôt elle aperçue une barque et forcée de remarquer que cette dernière ne possédait pas de moteur, elle fut contrainte de ramer.

Elle sait comment elle retrouva dans cette cabane, elle avait sans doute mieux à faire que d'observer des cannes à pêches et autre matériel voué à la même tâche, et pourtant c'était bien devant ces dernières qu'elle s'émerveillait. 
Un bruit de craquement la fit se retourner brutalement. Dans son élan elle attrapa, non pas ses cartes rasoirs, mais le premier objet qui lui tomba sous la main, un couteau à huitre.
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S. Timaël Angellier
S. Timaël Angellier

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 28
→ MESSAGES : 713
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 29/08/2011
→ AVATAR : g. ULLIEL
→ CREDITS : lovely kitty.
→ LOCALISATION : la tour de l'horloge.
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DOLLHOUSE
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon.


FEUILLE DE ROUTE
Caractère:
Inventaire: cartes rasoirs.

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MessageSujet: Re: love,hate, such a fine line ς Hadès    love,hate, such a fine line ς Hadès  Icon_minitime1Dim 4 Déc - 18:23

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Pays des merveilles. Mais qui est le sombre crétin qui a pu lui donner ce nom tellement contradictoire ? Pays des merveilles, tu me rends malade, pays des merveilles, tu me donnes envie de vomir jusqu'à ne plus en finir. Pays des merveilles, tu pourris ma vie. Ma vie ? Que dis-je, ma mort les enfants. Dévoré par un chien, il n'y a rien de plus stupide au monde que de finir dévoré par un stupide et affreux chien. Seigneur, maintenant que j'y pense, je me souviens encore de ses dents se refermant sur ma figure et m'arrachant ma peau, moi poussant des hurlements et un vague rire, un rire si léger qu'il en paraissait sadique et vicieux. Tout est ennuyeux ici, plus rien à faire, je n'ai plus mon bureau, plus rien. Certes, il y a des dégénérés mentaux ici, mais ce n'est pas assez. Plus rien n'est comme avant, je connais l'ennuie petit à petit. Plus rien n'est drôle. Avant, j'étais comme un enfant dans un magasin de bonbons, maintenant et bien maintenant: je suis comme un rat mort. Voilà déjà plusieurs minutes que je me balade dans cet endroit étrange qui est apparu depuis peu. Il fait nuit, encore et toujours. Je ne sais plus ce qu'est la lueur du jour, plongé dans le noir oui, comme Alice et son coma. Il n'y a aucun échappatoire, je suis mort une fois, et ça sera la seule fois. Je ne compte pas me laisser avoir ni faire, redoubler de prudence, me montrer au vrai jour peut-être bien. Mon regard se perd un peu partout, il regarde, il examine jusqu'à tomber sur une cabane étonnement grande, une maison peut-être ? Qu'en sais-je. Un simple haussement d'épaules et je passe mes mains sur les murs, je me demande simplement qui a pu habiter là-dedans. Un poisson sur pattes ? Un géant ? Des questions sans réponses apparentes malheureusement. Tout se meurt ici, même les habitants. Un instant puis je m'arrête alors, entendant des bruits de pas. Je ne suis pas seul alors ? Dommage, j'aurais bien voulu penser à autre chose que de percer des bestioles.

Tout en prenant une longue inspiration, je me décide enfin à ouvrir la porte de cette cabane à moitié en ruine. Mon glaive sorti au cas où, caché dans l'ombre, je vois ... Je vois. Mais quelle surprise. Léocadie. Oh douce et tendre Léocadie. Je me revois encore cette scène dans ma tête, je te revois tomber de ta chaise la corde au cou et ton regard suppliant me traversant les yeux, ils me suppliaient de te sauver. Je t'ai sauvé ma belle, je t'ai sauvé une fois. Mon coeur claque dans ma poitrine, l'adrénaline monte petit à petit. Des tas de choses se remuent dans ma tête et je ne cesse de la fixer ce sourire aux lèvres. Heureux ? Peut-être pas. Je suis coincé dans un stade entre l'euphorie et l'énervement. Tu aurais du mourir, jamais je n'aurais du te revoir. Je la vois en train de se retourner, un genre de couteau entre les mains. Elle croit sincèrement blesser quelqu'un avec un si petit couteau ? Pauvre fille, elle doit être perdu, à la limite de la paranoïa ? Déjà elle était folle avant de tomber ici, je suppose que ce monde n'arrange pas les choses. Un rire s'échappe de mes lèvres, mon couteau dans une main, l'autre se glissant dans ma poche je m'avance l'air de rien non loin d'elle. « Tu crois sincèrement que tu vas blesser quelqu'un avec ça ? » Je reste sur mes gardes, qui sait seulement de quoi elle est capable ? Avant je la connaissais, mais ça, c'était avant. Elle est tombée malade puis la femme que j'ai aimée, est morte à cause de cette bipolarité. Pas de chance ? Peut-être. Léocadie que j'ai connu, est morte tout simplement. La personne que j'ai devant moi, est une inconnue, une personne bancale, instable dont je ne sais presque rien. Je sens un noeud se former dans mon ventre à cette pensée, difficile oui. Comme une plaie qu'on asperge de sel, je dois oublier, simplement oublier. « C'est à croire que nous sommes liés jusqu'à la mort. Enfin la mort, c'est assez vite dit, vu les circonstances. »
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MessageSujet: Re: love,hate, such a fine line ς Hadès    love,hate, such a fine line ς Hadès  Icon_minitime1Mer 7 Déc - 22:14

Personne, personne ayant rencontré Léocadie quand elle était encore en vie ne pourrait la reconnaitre ainsi. Elle savait au fond d'elle même qu'elle ne se reconnaissait plus également. Mais comment pouvait-elle affirmer cela ? Qui était-elle d'ailleurs ? Personne, elle n'était plus personne, une âme coincée dans ce qui avait tout l'air d'être une réplique de l'enfer et attendant le repos éternel.
Le repos éternel elle l'avait espéré ce jour là, le jour où elle en avait finit. « Tu verras, tout ce passera bien, tu iras mieux, nous irons tous mieux ... » des paroles suaves, faussement teintées d'amour et de compassion, des mots, rien que des mots.
Elle l'avait écouté, elle avait fait tous ce qu'il avait dit, elle avait envoyé un lettre à son père mais également à Borys. 
Borys le seul à qui elle avait tout dit, ou presque. Ils se connaissaient depuis l'enfance, ils étaient voisin, lui et sa mère était les seuls au courant de la maladie de la mère de Léocadie, en plus de Léo elle même et de son frère, son beau-frère Niklaus.

Elle resta un moment stupéfaite quand elle vit Hadès, depuis qu'elle était ici elle avait espérée l'y voir un jour. C'est tout ce qu'il méritait après tout. Ainsi son vœux s'était exaucé.
Elle ne pu refouler son mouvement de stupeur quand elle le vit entrer nonchalamment dans l'immense cabane.
Elle le toisa un instant, rien, toujours aucun sentiment ne filtrai de ses prunelles, pas la moindre once de stupéfaction, de remord, de regret, de joie, rien. Pour la première fois elle se demanda s'il l'avait réellement aimé un jour ou bien si son cœur avait subitement disparu le jour où elle lui avait annoncé la terrible nouvelle. Elle voulait être franche avec lui, finalement peut-être aurait-elle dût ne rien dire, le lui cacher comme avait fait sa mère avec son père. Et mourir toute seule dans son coin sans que personne le remarque, comme ta mère ? Au fond elle n'était pas si différente de sa génitrice, elle avait voulus ne pas lui ressembler, elle avait finis morte dans son coin sans personne pour de soucier de son sort également. Peut-être s'agissait-il tout simplement d'une  malédiction de famille ... 

 « Tu crois sincèrement que tu vas blesser quelqu'un avec ça ? » Son petit rire nerveux l'énerva, bien qu'il lui prouva qu'il était également en proie à des sentiment contradictoires. Elle baissa les yeux vers sa main qui tenait le petit canif. C'est vrai qu'il était ridicule ! Elle le posa sur la table où elle l'avait pris et sorti son paquet de cartes rasoirs de la poche de sa cape.
Il s'était rapproché d'elle, l'occasion était tentante mais elle ne voulait pas que cela se termine si facilement. 
« C'est à croire que nous sommes liés jusqu'à la mort. Enfin la mort, c'est assez vite dit, vu les circonstances. » Alors sans qu'elle su pourquoi ( en fait si elle le savait, elle avait beau être morte la maladie l'avait suivie) elle éclata d'un rire dément qui rebondit sur les parois de la cabane. La période de calme était finis, à croire que c'était lui et lui seul qui provoquait cela.
Reprenant son souffle elle s'installant tranquillement sur une chaise.
« Je n'avais pas rigolé depuis longtemps ... Ahhh Hadès, Hadès, que vais-je faire de toi ? » alor sans crier gare une de ses cartes passa au dessus de la tête de son ancien amant et vînt se loger dans la porte d'entrée.
Elle n'avait plus envie de rire. Elle descendit de l'immense chaise où elle se trouvait et en un clin d'oeil se retrouva debout.
Elle le contourna pour aller récupérer sa carte puis se plaça derrière-lui et lui chuchota : « Si tu savais, su tu savais tout ce que j'ai enduré ... Tu ne me reconnais pas mais la vérité c'est que nous ne nous sommes jamais vraiment connu Hadès. Jamais ... Une larme perla sur sa joue et sa main qui se trouvait libre se porta naturellement sur son ventre, alors elle se rendit compte qu'elle n'avait plus rien à perdre et que pour l'avoir aimé vivante, elle pouvait lui dire la vérité, sa funeste vérité.
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MessageSujet: Re: love,hate, such a fine line ς Hadès    love,hate, such a fine line ς Hadès  Icon_minitime1

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