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 BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.

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MessageSujet: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 5:42

BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Tumblr_lvnsagm0zz1qe4vygo1_500
seymour calpurnia braxsen

« On parlait dans ce cas de la plus dure des matières, qui jamais ne pliait et qui préférait se briser plutôt que se soumettre. »

ÂGE: vingt-sept printemps. DATE DE NAISSANCE: le neuf novembre. LIEU DE NAISSANCE: londres. STATUT SOCIAL: célibataire. ARME CHOISIE: le cheval-bâton. MÉTIER: guide dans un musée. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX: douce - maternelle - agréable - intelligente - orgueilleuse - rancunière - froide - autoritaire - maniaque. CÉLÉBRITÉ: gemma arterton.

RACONTEZ NOUS VOTRE MORT : elle avait hurlé de toutes ses forces, tellement fort qu'elle avait presque senties ses cordes vocales se déchirer. Un goût de sang dans la bouche, des larmes de colère et de panique qui perlaient aux coins des yeux, et c'était à peu près tout. Elle avait toujours fait dans la maladresse - elle échappait de la vaisselle ou elle cassait des clés dans des serrures -, mais s'enfermer elle-même dans un sarcophage dans un effort ultime pour le nettoyer n'avait jamais été dans ses plans. Son job merdique l'y forçait : la direction faisait la rotation du pauvre perdu qui devait s'aventurer dans les sous-sol de l'exposition égyptienne, là ou les gens n'allaient qu'une seule fois par mois... et qu'on ne lavait donc, qu'une fois par mois. Des sarcophages, plein de sarcophages partout. Les gens étaient certains qu'ils contenaient des momies, des types emballés sur eux-mêmes depuis des millénaires. Mais, pour le moment, c'était bien elle, la seule momie. « À l’aide ! À l’aide ! » Crier était devenue la plus importante mission de son existence. Elle pouvait à peine lever les bras et dès l’ors qu’elle s’inclinait ses genoux venaient cogner contre la paroi de pierre de sa prison maudite. La porte, un mécanisme très simple, s’était déclenchée après qu’elle eut accidentellement donné un coup contre le battant…. oui, ça devait être ça, elle avait accidentellement actionné quelque chose. Il avait pivoté sur lui-même et avait rebondit sur ses ressorts pour venir la pousser de l’avant. Elle s’était cognée le front contre la paroi du fond, eh puis il y avait eut ce moment glorieux, l’instant de terreur où elle avait comprit ce qui lui arrivait. Elle ne pouvait même pas pivoter, elle ne pouvait même pas faire face à la porte qui venait de la condamner. Son esprit calculait à toute vitesse les chances qu’elle avait d’être trouvée. Et il n’y en avait aucune, à moins peut-être qu’elle trouve la force de produire des hurlements capables de traverser le bâtiment en entier. Sa mère était partie en voyage et ne rentrerait pas avant plusieurs jours et n’avait de toute façon pas l’intelligence requise pour prévenir les autorités. Quant à ses collègues et ses supérieurs, jamais ils ne pourraient songer à une hypothèse aussi stupide – Seymour la brillante s’est enfermée dans le sarcophage ! -. Oh, non… « Je vous en supplie ! Je vous en supplie, faites-moi sortir de là ! PAR PITIÉ ! » Elle était aveugle dans l'obscurité du sarcophage et ne discernait de l'extérieur que des bruits de pas. Des pas qui s'éloignaient, qui la laissaient seule à son peu reluisant destin. Et en y repensant bien, ne l'avait-on pas poussée ? N'était-ce pas un coup sur la nuque qui lui laissait ce si singulier étourdissement ? N'était pas une seringue plantée à la va vite dans son bras qui lui faisait tourner la tête, là, maintenant ? « Je ne veux pas mourir. Je ne veux pas MOURIR ! » Elle finit par ne plus avoir la force suffisante pour se tenir debout. Affalée, courbée contre la paroi, elle poussa un ultime hurlement, qui tenait plus de la lamentation mais qui demeurait le plus puissant de la soirée. En fait, il y eut ce cri là, son dernier à elle, puis celui que poussa le pauvre type qui, un mois plus tard, ouvrit la porte du sarcophage et se retrouva avec son cadavre dans les bras, les yeux grands ouverts.

QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? : développez en quelques lignes votre opinion sur le pays des Merveilles et la situation instable dans laquelle il se trouve suite à l'accident d'Alice.

QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? : en quelques lignes votre endroit préféré, parce que ce pays a beau être un cauchemar ambulant, on a tous un endroit pour se reposer et qu'on aime inconsciemment.



Dernière édition par Seymour C. Braxsen le Mer 14 Déc - 21:48, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 5:42

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raconte moi une histoire

Ma mère nourrissait une passion malsaine pour les choses du passé. Elle était historienne - je crois. Son métier ne nous passionnait pas, ma soeur et moi, car contrairement à tous nos camarades notre mère ne nous y avait jamais emmenées, n'avait jamais pris le temps de nous expliquer exactement pourquoi c'est à l'adresse une baby-sitter que j'avais pour la première fois prononcé le mot '' maman ''. Boleyn, ma soeur - que cela vous surprenne ou non, maman lui avait donné comme second prénom quelque chose d'aussi ravissant que le Calpurnia dont j'avais hérité, si bien qu'elle se mettait parfois à l'appeler Scribonia, la manière idéale de plaire à une fillette de cinq ans -, était de dix ans ma cadette et avait dû se dire au finale que sa mère, c'était moi. Je crois que c'est cet attachement, cette complicité qui nous liait, qui devait causer ma perte d'abord puis la sienne ensuite.

Boleyn braillait dans ses bras depuis une heure. C’était la manière la plus simple d’énoncer leur relation – Boleyn chialait, Seymour consolait. Boleyn la fougueuse et Seymour la sage, Boleyn qui criait alors que Seymour relativisait. Boleyn la fille et Seymour la mère, en d’autres termes, et en ce moment-même cet aspect-là était le plus exploité. « Il a dit que j’étais une grosse patate ! » sanglota-t-elle en relevant la tête pour chercher un peu d’appui et de soutien dans son regard. Elles ne se ressemblaient pas beaucoup, toutes les deux. Boleyn tenait plus de leur mère tandis qu’elle, elle ressemblait à leur père… ou, à tout le moins, à ce à quoi leur père devait avoir ressemblé. Il était parti quand elle avait neuf ans, avant même que sa mère n’apprenne qu’elle était enceinte. Peut-être même ignorait-il qu’il avait une seconde fille, mais ça n’avait pas empêchée leur génitrice de faire porter à Boleyn le nom de Braxsen ; les sœurs Braxsen, c’est comme ça qu’on les appelait dans le petit voisinage où elle les avait toutes deux traînées quand elle avait perdue la maison. Elle était encore mariée à leur père – il avait juste disparu quelque part. Grandir sans père avait fait de Boleyn une petite chose malléable pour laquelle leur mère n’avait que bien peu d’intérêt. « Je lui ai demandé pourquoi il m’avait invité au bal, et tu sais ce qu’il a répondu ? » Qu’il voulait coucher avec toi dans la limousine qu’il avait louée ? « Il a dit qu’il avait louée une limousine spécialement pour nous et qu’on pourrait faire tout ce qu’on voulait dedans ! Tout ce qu’il voulait ! » C’est ce que je disais. Tu devais te trouver des petits copains moins prévisibles. Ou à tout le moins essayer. « Et qu’est-ce que tu lui a répondu ? » Que c’était pas cool. « Je lui ai dit que c’était pas cool et que je méritais plus que ça ! » Plus que quoi ? Qu’une limousine et une bonne… « Alors il a dit qu’il allait emmener Kelsie au bal avec lui ! Kelsie Parker, tu réalises ça ? » C’est tellement tragique. Je vais pleurer, je sens les larmes qui arrivent. Elles étaient restées là, serrée l'une contre l'autre, pendant longtemps, le temps que Boleyn cesse de sangloter et que ses larmes amères sèchent. Leur mère n'était pas rentrée avant les petites heures du matin - elle passait généralement ses soirées à son bureau et n'en partait que lorsque le gardien l'intimait gentiment à en faire de même ou la pressait un peu trop de ses avances. Et d'une manière ou d'une autre, elle utilisait l'entrée du garage et ne croisait jamais les deux extensions de sa propre personne.

Le soir dudit bal, elle alla se coucher à 2h30 du matin ; elle travaillait le lendemain, à midi, et avait rapidement été informée par ses supérieurs que des cernes sous les yeux avaient tendance à faire fuir les visiteurs. Elle travaillait dans un musée, depuis qu'elle avait vingt-trois ans en fait. Mener ces gens ignares et avides d'apprendre des choses dont ils oublieraient de toute façon tout le soir même était devenue son unique responsabilité, et au final ce qu'elle haïssait le plus dans le monde. Il ne se passait pas une journée sans qu'elle ne songe à démissionner. Elle ne savait pas, en se levant le lendemain matin, qu'il ne lui restait en tout et pour tout qu'une semaine ou deux à vivre. Car Boleyn n'était pas rentrée - Boleyn ne rentrerait pas. « Tu sais où elle est ? » Debout dans l’encadrement de la chambre de sa mère, elle parlait à la silhouette endormie. Un regard noir l’accueillit, une réponse maugrée à la va-vite, négative. Merci infiniment pour ce soutien total et complet. « Ouais, c’est ça. » Des images atroces se succédaient dans son esprit - Boleyn morte dans un faussé, ou encore baignant dans son sang au fond d'une limousine, sa robe de bal toute déchirée. Elle appela sur le portable de Boleyn et poussa un cri de frustration en l'entendant sonner... sur le comptoir de la cuisine. Elle téléphona au boulot pour prévenir de son absence, et lorsqu'on lui demanda les raisons de cette même absence, elle répondit simplement que Boleyn n'était pas rentrée. Elle chercha les clés de sa voiture dans le fouillis de la cuisine et fila directement jusque chez Kelsie Parker - la meilleure '' amie '' de Boleyn. Il n'y avait personne. Elle jeta un coup d'oeil par la fenêtre, pour être absolument certaine, mais il n'y avait vraiment personne. Pas plus que chez Molly, Jane ou Clara, les autres membres de leur petite clique. Alors, en dernier recours, elle appela le type qui avait invitée sa soeur. Il lui hurla dans l'oreille. « Je sais pas où elle est, moi, cette pauvre conne ! » Ton language soigné et pur est une douce mélodie pour mes oreilles. « On était censés se rejoindre à 19h00 devant l’école, et elle est jamais venue ! Jamais ! Elle m’a laissé en plan avec une limousine et une bouteille de champagne, alors elle peut bien aller se faire… » Elle raccrocha avant d’entendre la suite. Et elle dû lutter contre la terrible envie de vomir qui lui remonta le long de la gorge quand elle comprit que sa petite soeur avait disparu. Lutter, encore, lorsque les autorités lui conseillèrent simplement d'attendre, lui dire qu'elle devait avoir ait une fugue ou quelque chose comme ça. Ma soeur ne fugue pas. Ma soeur a peur de sortir toute seule le soir. Ma soeur a peur du noir. Ma soeur ne fugue pas. Elle se répéta ces mots durant les premières heures, durant la première nuit. Puis ils devinrent inutiles, le troisième jour. Boleyn était rentrée. Les pieds par devant.

La poignée froide du cercueil touchait à peine ses doigts - ce n'était pas elle qui le soutenait, c'était plutôt le contraire. Les cinq autres porteurs avançaient lentement, à son rythme à elle. Depuis une semaine, oui c'est autour d'elle que semblait s'être centré le monde. Son patron lui avait dit de ne pas venir travailler jusqu'à ce qu'elle se sente mieux ; même sa mère, plongée dans un total mutisme depuis que les policiers avaient tenté de lui expliquer sans trop de dommages que sa fille avait été violée et froidement exécutée d'une balle dans la nuque, se préoccupait plus d'elle maintenant que n'importe quand auparavant. Comme si elle craignait que la même chose lui arrive. Mais bien sûr que non, se répétait alors Seymour comme si quelqu'un avait pu l'entendre. Ils vont retrouver le meurtrier de Boleyn, oh que oui ils vont le retrouver, et cette enflure va passer le restant de sa vie de merde en prison. Elle avait besoin de s'en convaincre. « Il faut lâcher le cercueil, Parker. » Seymour releva la tête. Le type à la limousine – elle avait entendu son nom être prononcé durant les funérailles mais l’avait oublié – tentait d’intimer une jeune fille à se détacher du cercueil. Le corbillard était là, prêt à être chargé de sa funeste cargaison. Seymour elle-même ouvrit la main, s’écarta, mit le plus de distance possible entre elle et ce qui contenait le cadavre de sa petite sœur. Mais la jeune fille, non. C’était Kelsie Parker, toute de noir vêtue, un petit voile de dentelle sombre pour recouvrir son visage cerné. Elle ne portait pas de maquillage, chose rare chez elle, et en guise de bijoux n’arborait que ces trucs stupides qu’ont parfois les amies, ces colliers ‘’ best friend forever ‘’. D’une main elle tenait la poignée du cercueil, et de l’autre elle serrait le pendentif entre ses doigts, de toutes ses forces. « Lâche-le, Parker. Lâche-la. » Il posa les mains sur ses épaules et la tira littéralement en arrière, avec une brusquerie qui n’était pas indispensable. Et le doigts de Kelsie, toujours refermés sur la poignée, entraînèrent le cercueil qui dans sa chute s’ouvrit. Sa mère détourna les yeux, secouée d’un haut-le-cœur. Le cadavre était là, tout artificiel, maquillé par des gens qui ne savaient pas ce qui allait bien ou pas à Boleyn qui lui avait donné l’air d’une petite garce aguicheuse. C’est ce que disaient les mauvaises langues depuis sa mort. Boleyn Braxsen a séduit son violeur. Elle ne pouvait pas tolérer la vue du corps blanc, faux. Les embaumeurs leur avaient rendue Boleyn, oui, mais c'était Boleyn, ce n'était plus sa soeur. Avec une envie de vomir qui persistait, elle tourna les talons, bouscula tout ceux qui eurent le malheur d'être sur son chemin et, traversant la rue en priant tout à la fois pour ne pas être percutée et pour l'être, elle disparut.

Elle répétait avec assurance pour la millième fois la même phrase. « Je vous assure que je peux revenir au travail. Je vais bien. Je vais parfaitement bien. Il faut que je fasse quelque chose, je ne peux pas rester chez moi toute seule ! Ma mère est partie, carrément partie, le lendemain des funérailles. À une exposition d’art chinois, vous voyez, ou japonais, je ne sais même plus. Je m’en moque. Je vous en prie, laissez-moi revenir. Si vous avez peur que je pique une crise de nerfs devant les visiteurs, affectez-moi ailleurs. » Sa patronne eut un regard compatissant pour l’épave à qui elle s’adressait ; le chignon de Seymour partait de travers, son chemisier était mal boutonné et la camisole qu’elle portait en dessous était à l’envers. Elle portait deux chaussettes différentes et s’était maquillée si rapidement qu’elle avait l’air, elle aussi, d’une morte. Mais je suis morte, se dit-elle comme pour se consoler. Je suis morte depuis le jour où ils m’ont emmenée identifier son corps à la morgue. « Je vous crois, fillette, je vous crois. Mais attendez quelques jours, je vous en prie. Pourquoi ne pas aider l’équipe de ménage de ce soir si vraiment vous ne voulez pas retourner chez vous ? » C’était comme une révélation. Il y avait tellement de choses ici, tellement de trucs à laver ! Elle ne serait pas sortie avant des heures. « Dites-leur de me laisser le sarcophage, celui de l’exposition mensuelle. Ça devrait me prendre une bonne heure. » Alors c'est ce qu'elle fait : elle attend que la nuit tombe et que l'équipe de ménage s'en aille pour utiliser son passe d'ascenseur et descendre au plus profond des sous-sols du musée, là ou il n'y a même pas de lumière ou presque. Elle ne referme pas la porte derrière elle - qu'est-ce ça pourrait bien faire, il n'y a personne de toute façon. Et, armée de tous les produits nettoyants conseillers par les autres guides parfois affectés à cette tâche, elle ouvre l'immense porte de pierre du sarcophage et...

...








Dernière édition par Seymour C. Braxsen le Mer 14 Déc - 21:35, édité 21 fois
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 5:42

HORS-JEU

PSEUDO: castamere rains. AGE: seize ans. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? je peux demander sa main ? COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? via bazzart, le carrefour du monde. ACTIVITE: presque tout le temps. CODE DU REGLEMENT: alice's madness. UN MOT POUR LA FIN ? je suis folle et j'aime les pandas, je vous préviens :16: Et aussi qu'il ne faut pas porter attention à la vidéo, juste à la chanson * en manque de ressources *.



Dernière édition par Seymour C. Braxsen le Mer 14 Déc - 5:54, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 5:50

What a wonderful phrase :bril:
Bienvenue, même si t'as pas commencé ta fiche je t'aime déjà juste parce que tu as cité le Roi Lion :5:
Bon courage :green:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 6:05

Ooooh :han:
Je m'apprête cependant à briser toute la magie du moment * musique triste * en affirmant que je n'ai aucune idée de quelle citation tu veux parler :sors: :table:

Remarque, m'attirer de l'affection comme ça sans même m'en rendre compte me plait bien :mouton:

Spoiler:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 6:59

Je ne connaissais pas la fille sur ton avatar.
Mais elle est :3: :11: :9: :26: :bed: :douche:

BREF.

Bienvenue à toi :bril: :16:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 12:06

Oui, c'est généralement l'effet qu'elle a :pacman: * sors *

Merci :youpii: :cupcake:

Vous avez un sacré stock de smileys que je ne manquerai pas d'utiliser à chaque occasion, sachez-le xD
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 14:01

Je parlais d'Hakuna Matata, voyons, avant que l'histoire ne vienne remplacer ces deux mots magiques :hin: :mdr:

Sinon je tiens à dire que comme Franciszek, je ne connaissais pas ton avatar, mais wouah :love:

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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 14:05

Aaaaaaaaah :table:
Faut savoir qu'il était tard et que j'étais fatiguée hein ><
Faut savoir que ça fait partie de mon langage récurrent :caddie:

Oui, Gemma est :love:
Eh puis, Rick Genest quoi. Bien que j'aille légèrement peur * sors *
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 14:12

Hehe, on me le dit souvent :15:
Je viens de lire ta mort... trop drôle xD :16:
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Appoline Baudelaire
Appoline Baudelaire

la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter

→ AGE IRL : 27
→ MESSAGES : 861
→ ARRIVÉ AU PAYS LE : 02/10/2011
→ AVATAR : emily browning
→ CREDITS : ginger's spleen
→ LOCALISATION : bonne question
WHERE IS MY MIND ?
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FEUILLE DE ROUTE
Caractère: timide, intelligente, discrète, fragile, peu bavarde, triste, tenace, appliquée, douce-amère, délicate, dévouée, minutieuse, juste, acerbe, sensible, vigilante, ignorante, docile, introvertie, candide
Inventaire: l'ombrelle et l'éventail métallique

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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 15:57

GEMMA. :bril: Il va nous falloir un lien. :huhu:
Bienvenue parmi nous, je te remercie de ton inscription et te souhaite bonne chance pour ta fiche ! I love you
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 18:52

OMG GEMMA :26: :bril: :19:
superbe choix, magnifico :20: bienvenue :omg:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 18:59

Gemma est une femme absolument magnifique. ♥️
Tu as fais un très bon choix d'avatar. Je te souhaite la bienvenue et puis courage pour ta fiche :10:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Mer 14 Déc - 20:05

Merci vous tous :6: :19: :26:

Viktor -> la preuve d'à quel point j'étais fatiguée ><
Berlioz -> owii :danse:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Jeu 22 Déc - 0:52

Berk, retard pas beau :rain: :OMFG:

Juste pour vous dire que je suis encore là, si si je suis vivante * sort *
Je vais essayer de finir tout ça ce soir ou demain, vous ne vous débarrasserez pas de moi :gnéhé:
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1Lun 26 Déc - 10:13



GEMMA :19:

:bril:

Welcome !

I NEED A LINK.
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MessageSujet: Re: BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built.   BRAXSEN, CALPURNIA ► i live in a city sorrow built. Icon_minitime1

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