Sujet: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mar 1 Nov - 23:33
HYDE CRYST ASHES
« La vraie vie est absente, nous ne sommes pas au monde. Rimbaud. »
ÂGE:19 ans.DATE DE NAISSANCE:31 Octobre 1992.LIEU DE NAISSANCE:Londres, Angleterre.STATUT SOCIAL:Déchirée.ARME CHOISIE:Ombrelle et Cartes rasoirs.MÉTIER:Artiste.TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX:Étrange, confuse, sauvage, indifférente, décalée, passionnée, fragile sous des apparences dures, froide, distante, secrète, discrète, imaginative, cassante, agressive, trompeuse, réfléchie, perfectionniste, libre, désinvolte, intrépide, dangereuse, rancunière, observatrice, manipulatrice, violente et cruelle lorsqu'elle est blessée, misanthrope, loyale, compréhensive, endurante, incompréhensible, sadique, impulsive, colérique, haineuse parfois, franche et blessante.CÉLÉBRITÉ:Kelley Ash.
RACONTEZ NOUS VOTRE MORT : C'était le jour de mon anniversaire. Il y avait ses yeux, ceux que j'avais regardé tant de fois. Dans lesquels mon âme toute entière s'est perdue jusqu'à épuisement. L'iridescence de mes souffles, la raison pour laquelle je respirais. La seule et unique raison. Ils étaient inondés de larmes, il pleurait. Je crois que mon cœur s'est brisé lorsque j'ai compris ce que j'avais fait, ce que j'ai perdu, ce que je venais de lui faire. Oh. Dieu que ça fait mal... Je ne sais plus très bien pourquoi, pourquoi j'ai eu cette envie de fuir, de partir vers un ailleurs indistinct alors que j'avais finalement réussi à être heureuse dans ce monde qui ne fût jamais mien, que cette bague à mon doigt scellait la promesse de l'amour de ma vie. De ma vie... De ma mort et de tout le reste. Le rasoir était tombé par terre, peut-être en même temps que moi. Peut-être avant. L'impact de mon corps sur le sol l'avait alerté, il me semble. Le rouge de mon sang colorait le carrelage blanc de notre salle de bain et ses mains tentaient vainement d'arrêter l'écoulement. J'entendais sa voix brisée par les sanglots me supplier de ne pas le laisser. « S'il te plaît, s'il te plaît... » Et puis j'ai senti la déchirure qui s'agrandissait... Pour finalement ne laisser qu'un trou noir et béant, au creux dans ma poitrine. À la place du cœur.
Le seul regret de toute mon existence est celui de l'avoir abandonné aussi lâchement. Par égoïsme, alors qu'il m'avait donné toute sa vie et bien plus encore. J'aimerais remonter les aiguilles du temps, le serrer contre moi comme j'avais l'habitude de le faire tout les matins et lui dire à quel point sans lui je ne suis rien. Rien qu'un fantôme sans couleurs. Mais, il est trop tard. Et mes souvenirs, blottis dans cette souffrance infâme, me rappellent sans cesse le vide que son absence creuse en moi. Au diable l'infini, au diable le monde entier et moi aussi, au diable. Plus rien n'a d'importance, non plus rien. Mon suicide. Son visage ancré dans mon esprit et toute cette haine d'avoir été lâche. La haine, à l'état brut. De l'absence, du manque, de la dépendance. La haine de ne pas avoir ouvert les yeux sur le trésor qu'était ma vie.
QUE PENSEZ-VOUS DU PAYS DES MERVEILLES ACTUEL ? : Aucune importance. Survivre, je suppose que c'est tout ce qui compte. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Les reflets de mon passé dans ma mémoire ne s'éteignent pas... Inconsciemment, je l'attends. Lorsque je ferme les paupières, il y a son sourire. Je peux presque sentir son odeur mais ce ne sont que des illusions. Je suis perdue. Égarée. Dans le nulle part. Ce nulle part auquel j'étais destinée.
QUEL EST VOTRE ENDROIT PRÉFÉRÉ DANS CE PAYS ? : La vallée des larmes. Le silence qui y règne apaise les brûlures et les cicatrices que le temps laisse sur ma peau à chaque minute qui passe. Il correspond à ce qu'il reste de mon âme, un épais brouillard et un vide étrange que les mots ne qualifient pas. La solitude à mon image et le flou d'une vie incompréhensible. J'ai l'intérieur verrouillé, le corps transparent d'avoir trop saigné. La couleur de ces larmes nettoie tout ce sang dans ma tête. J'y vois plus clair lorsque je m'y rend.
HORS-JEU
PSEUDO:intodust.AGE:19 ans.COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ?Le contexte est tout simplement sublime.COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ?Top partenaires.ACTIVITE:Tout les jours, si je m'intégre bien.CODE DU REGLEMENT:Alice's Madness.UN MOT POUR LA FIN ?Forum magnfique, j'ai vraiment eu un coup de coeur et j'espère y rester longtemps.
Dernière édition par H. Cryst Ashes le Mer 2 Nov - 16:08, édité 9 fois
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 1:23
some streets lead nowhere.
I.__Depuis toutes ces années, mon seul véritable crime a été celui d'être venue au monde, d'avoir osé respirer envers et contre tout. Même contre moi. La lettre X trône sur mon dossier natal comme une mauvaise ombre qui jouit de me tourmenter lorsque les nuages obscurs se dissipent. Au fur et à mesure que j'inspirais cet oxygène que je n'avais jamais désiré, j'ai sympathisé avec l'obscurité de ce qui dissimulait ma propre histoire, un peu trop. Voire beaucoup trop. Lors de ces instants virginaux, dans les couloirs de l'orphelinat dans lequel j'ai passé la plus jeune partie de ma vie, je dessinais des sourires sur mes lèvres d'orpheline en me persuadant qu'ainsi je comblerais le vide de ne pas avoir de parents, ni de sœurs ou de frères. Très tôt, j'ai compris que je n'avais que moi-même et que je n'appartenais à rien, ni à personne. Sans famille. Sans endroit à surnommer tendrement « la maison ». Cependant, j'ai toujours réussi à trouver le positif de l'abandon. J'ai appris à ne pas craindre l'indépendance dès mon plus jeune âge et d'une certaine façon, j'en suis fière. Je n'étais guère la seule, plusieurs enfants vivaient à l'orphelinat et lorsque le chagrin de la réalité s'en est allé, je me suis crée ma propre famille. Celles des enfants abandonnés. Vous savez ? Comme dans Peter Pan. Certes nous n'avions pas le même sang mais nos douleurs, elles, se ressemblaient toutes. La solidarité était devenue notre propre poudre de fée. Nous volions avec notre imagination, c'est aussi imperceptiblement que j'ai rencontré ma passion: l'Art.
J'y ai trouvé un refuge, un endroit dont personne à part moi ne détient l'accès. Ce fût un remède lorsque la torpeur du néant s'emparait de mes muscles, me rendant aussi fragile qu'un oiseau aux ailes brisées par le bitume. À cette période, le bitume qui déchirait mes ailes n'était autre que la réalité. Celle que j'ai finalement réussi à semer. Par nécessité, par besoin. Du moins c'est le genre d'excuse que je me donnais. Faute de moyen, je n'ai jamais pris de cours d'art. Mes connaissances ne se résument qu'au résultat de curiosité et d'expérience. J'ai toujours été autodidacte dans mes créations. Je ne sais pas manier le pinceau comme on l'apprend dans des écoles appropriées, ni faire glisser mon fusain dans la direction parfaite des dessinateurs. Tout est fait à l'instinct. Ce qui se trace ou se forme de mes mains n'est fait qu'avec le mélange de mes émotions édulcorées. Pour moi, l'art est une grand territoire sauvage que personne ne peut dompter avec de la sagesse ou même de la théorie. J'en ai fait mon empire, mon autre monde. Je ne m'arrêtais pas à un style d'art, je touchais à toutes les sortes d'art qu'il m'était donné de voir et j'y laissais mes traces, aussi minuscules soient-elles. La création quant à elle s'est immiscée dans mes empreintes, jusqu'à s'unifier avec mon ADN. On peut dire que créer était devenu quelque chose de vital. Ce fût la première sensation que j'ai comparé à ce qu'on racontait de la drogue. Évidemment, c'est aussi à cause de ma folie imaginative que j'ai cédé à la tentation de voir ces couleurs psychédéliques que tout les jeunes de mon âge décrivaient comme divines. Je voulais voir ce paradis, que même mon imagination n'était pas capable de créer.
Ma chère et tendre ville m'apparaissait alors comme un merveilleux territoire inexploré. Au-delà du mur de l'internat, il y avait ma vie, mes soupirs, mes larmes et mes fous rires. Il y avait aussi l'amour, souvent timide et maladroit mais impossible à oublier, impossible à effacer. Il y avait ma chute, mes désillusions, ma peur, ma fragilité et ma force à continuer. À courir vers ce nulle part dont je suis tombé amoureuse. Il y avait mon cœur brisé. Ma mort, son absence éreintante. Il y avait tout. Et rien, surtout rien. Mais de ma fenêtre, avec mon corps si petit et mes mains si blanches, j'étais loin de m'imaginer que l'existence était si violente et si brillante à la fois.
II.__Déconnexion. L'esprit hors contrôle et les battements cardiaques diminuant toujours un peu plus. Le délire ou la folie, appelez ça comme vous le voulez. Une dépravation indéfinie s'était enveloppée autour de mon être. Je me suis noyée dans ses chimères, dévorant chaque particule d'illusion que ces produits illicites me procuraient. Mon corps usé par la décadence de ma dépendance s'est fragilisé, se perdant dans les allers-retours entre l'hôpital et le quotidien. La pluie londonienne a creusé des trous dans ma chair, fracturant ma lucidité à coup de psychédélisme nocif. Un Éden de couleurs, dont les douceurs vous tranche les veines avec votre propre consentement. J'étais aveuglée par l'apaisement assassin de cette seringue plantée dans mon bras, aveuglée par l'irréel. Par un monde qui n'existait que dans mes rêves. Envoûtée par les mirages, j'ai certainement failli perdre mon âme. Je marchais sur un fil invisible, ne craignant pas la chute, ne craignant pas la peur elle-même. Une indifférence exagérée envers la vie, un déni propre à mon sang. Une haine constante envers l'humanité et une insolence marquée par l'ironie. Je suis faite d'espoirs déchus, de brisures de rêves. D'incompréhensions écartelées et de regards perdus dans un néant universelle. Mes silences gravent la limpidité de mes souffles dans les brides du temps qui s'échappe. Je suis un spectre, un tourment de mélancolie qui pourrait bien vous détruire, simplement car il ne s'est jamais compris. Mon adolescence a été oubliée dans les tréfonds d'une folie chimérique que cette héroïne a laissée dans mes veines.
Il y a toujours eu une coupure entre la réalité et l'univers dans lequel j'ai évolué, une étrange coupure qui m'a toujours enfermée dans une boîte cadenassée que je ne suis jamais parvenu à ouvrir à quelqu'un ou à quelque chose. Toutes mes émotions restaient prisonnières de cette boîte, pour ne laisser qu'une voix scellée par la transparence et une attitude totalement détachée de ce que l'on considère comme l'humanité. L'adaptation est une chose à laquelle j'ai toujours eu du mal à me faire, j'ai toujours comparé ma présence à un état d'observation et ça s'était arrêté là. J'aurais voulu posséder l'inconscience car j'avais appris au fil du temps que les hommes n'étaient vivants qu'avec elle. Il n'y a pas de complications si tout est pris au second degré. Il n'y a pas de peine, ni de discours inutiles. Je haïssais les mots, les devoirs de plaisance, toutes ces choses qui font que l'humain a besoin de se sentir exister. De se sentir comme une personne à part aux yeux d'une autre. Depuis mon enfance, j'avais pris l'habitude de faire taire ces exigences que le subconscient de l'esprit m'envoyaient. Je les rejetais ouvertement comme si leur combinaison chromosomique ne s'accordait pas à la mienne.
J'étais bloquée ailleurs, mon corps était là-bas mais mon esprit restait dans cette profondeur interminable. Il y avait toujours cette coupure, elle était là. Sans cesse. Violente et brûlante. Elle s'intégrait à mes actes, elle régissait mes façons d'être. Elle me soumettait et engendrait tout un espace d'obscurité qu'ils ne verront jamais. Elle m'arrachait en murmures. Je crois encore en ses mensonges, ceux qui m'effacent du monde. La dépendance à l'oubli de soi est encore plus vive lorsque je regarde cette réalité que je ne peux m'empêcher d'haïr, lorsque je regarde les autres. Ces autres auxquels je n'ai jamais réellement voulu appartenir et que j'ai pourtant envié. Pourquoi je cherchais à définir ce vide ? À lui donner un sens qu'il n'aurait certainement jamais. Les contradictions rendaient toutes mes paroles inutiles, les promesses n'avaient pas d'importance à mes yeux. Elles avaient été conçues pour être brisées, donnant naissance à la déception. Nous sommes exigeants. Envers les autres, envers nous-même. Trop exigeants. Mes origines sont composées de lettres transparentes que je n'ai jamais su décrypter. J'ai cherché les réponses en sachant pourtant qu'elles ne seraient jamais correctement définies. Je ne savais pas qui j'étais et j'étais censée appartenir à un monde ? Avoir un entourage et des sentiments ? La logique est si terne par moment. Les mots s'étaient effondrés et décrire était devenu impossible.
Je suis tombé dans des silences impossibles à briser. Le bruit du rien résonne toujours dans les creux de mes songes, quelque part entre les angoisses éreintantes et l'envie de ne pas frôler un quelconque sol. Usée par le mutisme et l'indifférence à la vie, je ne trouve plus d'issues lorsque ce creux vient reprendre sa place au centre de ma cage thoracique. Tout était beaucoup trop réel, trop brutal. Trop, toujours ce trop qui m'empêchait de ressentir les choses de façon normale. Le pire n'était pas de le ressentir mais de ne pas arriver à le faire sortir. Ni par les mots ou par les gestes, tout restait bloqué. Complètement figé entre mes os, tout comme ma voix. Mon mur était fissuré, je le voyais mourir sans qu'ils ne s'en rendent compte, avec ce silence qui lui était propre. Il avait beau résister, ses traits fatigués trahissaient la force qu'il prétendait détenir. Sa couleur est délavée et ses cicatrices brûlent vivement derrière son sarcasme. Il s'oublie pour protéger, pour me protéger et pour me laisser ce temps que je n'ai pas. Il allonge mes minutes dans le secret et personne ne sait à quel point je peux m'y accrocher. Il paradait pour me faire respirer, ce n'était pas lui qu'il fallait blâmer... Seulement plus rien n'avait d'importance à ses yeux, ni les jugements, ni les opinions. Plus rien, plus rien. Il avait comme avalé mon vide, mon silence, ma maladie. Il n'y avait aucun autre coupable que moi-même, seulement personne ne croirait ça. Personne car tout le monde pensait cela totalement impossible. En brisant sa réalité de mes chimères, je condamnais ses armes, les détruisaient toutes jusqu'à ce qu'elles se transforment en cendres. Mais il restait là, comme un fantôme rédempteur. L'injustice incassable d'être relié sans qu'on ne le désire. On reste esclave de ces convictions. De l'attachement et par moment, c'est douloureux de simplement aimer. De simplement exister.
III.__We found love in a hopeless place. Je n'ai rien vu venir. Trop occupée à mourir pour survivre. Quel paradoxe. Il était là, j'étais invisible et mon cœur s'ouvrait face à son indifférence. J'ai été patiente. Longtemps grâce à je ne sais quelle force. Je voyais l'infini sur ses traits et mon cœur, que j'avais cru si mort s'était enfin éveillé face à son être. Il n'avait rien de conforme, il était simplement mon âme sœur. Mon tout et mon horizon même si son ignorance envers moi à laisser des cicatrices obscures. Je suis restée, quitte à laisser mes souffles s'effacer. Encore et encore, à lui faire comprendre dans un regard gêné qu'il était mon univers, qu'il avait brisé tout ces murs que j'avais mis en place et que même si ça me faisait souffrir de l'aimer à ce point, sans lui, tout était pire. Tout n'était qu'enfer. Il m'a guérit avec ses sourires, son odeur et tout ces rires qu'il a réussi à faire passer entre mes lèvres. Avec sa patience et son amour sans limite. Attendre valait bien la chandelle car lui, valait tout l'or du monde. Il était mon or. Que dire d'autre à part qu'il m'a fait connaître l'amour ? Celui que tout le monde rêve un jour d'effleurer, celui qui apaise n'importe quelle blessure. Je ne le méritais pas, oh non... Bien sûr que non mais il s'en fichait bien. Il a brisé toute cette glace, combattu toutes ces guerres avant d'arriver à l'essentiel de mon être. Il me manque, il me manque toujours. Même lorsqu'il était là, même lorsque je me brûlais à sa peau et que l'iris de ses yeux éclatait dans les miens.
Le regret, je n'avais jamais connu ce sentiment auparavant. Il a fallu que je meurs pour comprendre à quel point je fus stupide et puérile. La poussière de mes souvenirs s'entasse dans mes artères et respirer n'est qu'une torture quotidienne. Je n'ai plus rien à perdre, je ne ressens plus rien et mon âme n'est plus qu'une étendue aride et sans fin. Dans la stupidité de ma misanthropie, j'ai crucifié mes proches, brûlé à vif leur cœur et semer l'horreur de la mélancolie au creux de leurs pensées. Je suis devenue cette condamnée sans loi, cette exilée sans nom qui vagabonde dans les effluves du passé. Des morceaux brisés, des déchirures cachées au plus profond de cette mort que je maudis. Ma force n'est qu'une traîtresse, pactisant avec la fragilité de mes os pour m'envoyer dans les limbes de mes remords. Les larmes de mon aimé mélangées avec tout le vice de mon sang égoïste. Qu'ai-je laissé de moi en souvenir ? Une petite fille brisée par un monde qu'elle n'a jamais compris et auquel elle n'a pas su appartenir, une âme qui n'a fait que cracher sur la vie et un esprit perdu dans la folie inutile des cachets, des seringues et de la poudre à la couleur des anges. La culpabilité, la douleur de ne pas avoir eu le courage et le souvenir de son regard qui n'avait cessé de me retenir. Je suis partie vers ce maudit pays des merveilles. Des larmes parcourant ma joue. J'ai regardé derrière moi, comme si j'avais la possibilité de revenir en arrière et j'ai hurlé. Si fort que le ciel a du se briser un court instant pour finalement ne laisser qu'un silence cruel et cette solitude. Une solitude qui a détruit toute la luminescence que cet amour passé avait réussi à faire naître. Il ne reste que des cendres glacées de mon empire. Il ne reste que ma mémoire déchirée et toute cette haine que je dois faire sortir.
Le tranchant de la lame. Mon sang. Ses larmes. La fin et le regret.
Qu'est-ce que j'ai fait ?
Dernière édition par H. Cryst Ashes le Jeu 3 Nov - 10:48, édité 11 fois
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 8:49
Bienvenue, jolie demoiselle. La mort est merveilleusement bien écrite. :26:
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 10:26
Merci Josh Beech me vend du rêve et je vénère Escape The Fate. Il nous faudra un lien mon cher.
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 10:32
Pas de souci, ma belle.
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 11:07
Ton avatar est juste... Woaw *-* Et puis ton personnage promet d'être super intéressant Bienvenue ma belle ♥ Et bonne chance pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 11:22
Helena Ton avatar est mille fois plus "Woaw" que le mien. Cette femme, je l'adore Merci beaucoup
Dernière édition par H. Cryst Ashes le Mer 2 Nov - 21:49, édité 1 fois
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 21:24
Bienvenue parmi nous Je seconde Selena, magnifique avatar et j'aime beaucoup ton pseudo :) Courage pour ta fiche, également :3
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Mer 2 Nov - 21:41
Oh merci c'est gentil De rien ma belle J'ai pris un peu de temps pour lire ta fiche (ce que je fais rarement) et je dois t'avouer que j'aime beaucoup ta façon d'écrire, j'ai pris beaucoup de plaisir, que ce soit pour la mort ou l'histoire Tu peux en être fière
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Jeu 3 Nov - 12:35
Jake; merci Johnny Deppppppppppp
Selena; Ah, je suis contente que ça te plaise Ce que tu dis me touche beaucoup et puis merci de m'avoir accordé ton temps alors J'espère avoir un lien avec ton personnage dès que je serais validée. J'ai lu ta présentation et je trouve Selena vraiment originale. J'ai peut-être une idée en plus
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Jeu 3 Nov - 17:34
Tu écris vraiment bien Bienvenue !!
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Jeu 3 Nov - 19:18
Merci June
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Jeu 3 Nov - 19:47
OOOOOOWH *-* Quelle BOMBA SEXUAL
Bref, BIENVENUE quoi XD !
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Jeu 3 Nov - 21:19
THANK YOU MY DEAAR
S. Timaël Angellier
❝ la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter ❞
→ AGE IRL : 28 → MESSAGES : 713 → ARRIVÉ AU PAYS LE : 29/08/2011→ AVATAR : g. ULLIEL → CREDITS : lovely kitty. → LOCALISATION : la tour de l'horloge.
DOLLHOUSE
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon.
Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Ven 4 Nov - 16:32
BIENVENUE Alors je suis SUPER désolé du retard, je m'occupe de ta fiche de suite jolie jeune fille !
Invité
Invité
Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Ven 4 Nov - 17:32
Oh! Merci Ce n'est rien pour le retard. Même si j'avoue être impatiente xD
S. Timaël Angellier
❝ la mort imprévue fait partie de la vie, il faut bien accepter ❞
→ AGE IRL : 28 → MESSAGES : 713 → ARRIVÉ AU PAYS LE : 29/08/2011→ AVATAR : g. ULLIEL → CREDITS : lovely kitty. → LOCALISATION : la tour de l'horloge.
DOLLHOUSE
Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon.
Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Ven 4 Nov - 19:47
Encore désolé du retard, certes je me répète mais ta fiche est vraiment belle, tu as un superbe écrit et j'ai hâte de voir ton personnage évoluer dans le pays des merveilles, quoi qu'il en soit jolie jeune fille, tu es validée !
Félicitations
Tu ne peux être personne d'autre que l'un de mes sous-fifres. Veux-tu que je te dise ? Ton caractère est tellement mauvais, que tu ne peux faire parti que de mon groupe. C'est un honneur que de faire parti des sous-fifres de la reine. Un immense honneur, surtout depuis que le monde d'Alice se dégrade, tu pourras continuer à faire régner mon nom. Quoi qu'il en soit, pour le bon fonctionnement de la suite, je te conseille vivement de signaler ton avatar pris, mais d'aussi remplir ta feuille de personnage. Par la suite, tu pourras faire tes liens et tes topics. Si jamais il y a un soucis, les absences sont là.
Quoi qu'il en soit, j'admire ton courage d'être venu ici, le monde distordu de la pauvre Alice. Monstres et bêtes sans noms te suivront partout. Mais si tu as choisi de faire parti de l'aventure, ce n'est pas pour rien. Je te souhaite bonne chance, H. Cryst Ashes et surtout, ne meurs pas ... A nouveau.
Invité
Invité
Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie. Ven 4 Nov - 20:05
Merci énormément. Je suis trop contente d'être validée ! XD En plus, la groupe de la Reine rouge faisait partie des deux groupes qui m'intéressaient donc je suis doublement contente BREF merci ! (moi aussi je me répéte)
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Sujet: Re: HYDE CRYST ASHES ▲ wild is the wind. - Finie.